La Métropole de Rouen avec sa politique d’intégration aux petits soins, montre que les vraies riverains sont relégués au second plan. En 2025, pas moins de 12 450 tickets de bus seront distribués aux immigrés primo-arrivants via des associations locales, histoire de leur faciliter leurs démarches administratives. (source : Actu.fr) Pendant ce temps, les Rouennais jonglent avec les hausses de tarifs et les suppressions de lignes. Solidarité ou clientélisme déguisé ?
Les nouveaux arrivants chouchoutés, les Rouennais oubliés
Grâce au Contrat territorial d’accueil et d’intégration signé avec l’État, ces tickets de transport seront remis aux associations et à l’OFII pour financer les déplacements des primo-arrivants vers la CAF, la CPAM, ou encore France Travail. Officiellement, il s’agit d’éviter que ces démarches essentielles ne deviennent un obstacle. Mais alors, pourquoi la Métropole ne finance-t-elle pas aussi les abonnements des étudiants ou des travailleurs précaires, qui doivent eux aussi se rendre à ces mêmes administrations ? Mystère.
Un budget public généreusement distribué
La facture pour la collectivité s’élève à 9 120 euros. Une goutte d’eau dans l’océan des dépenses publiques, diront certains. Mais lorsqu’il s’agit d’allouer des fonds pour geler les tarifs des abonnements ou améliorer le réseau, soudain, les caisses sont vides. Priorité aux uns, indifférence totale pour les autres.
Encore plus d’initiatives pour les mêmes bénéficiaires
Et ce n’est pas tout ! En parallèle de cette mesure, deux autres actions sont mises en avant :
- Un soutien à la Journée mondiale des réfugiés 2025, où l’ASPTT proposera des activités sportives et culturelles pour favoriser l’intégration.
- Un appui aux cours de français à la MJC d’Elbeuf, censé aider les primo-arrivants à maîtriser les bases de la langue et s’intégrer plus facilement.
Pendant ce temps, les subventions pour les événements culturels locaux et les dispositifs d’aide aux jeunes Rouennais fondent comme neige au soleil.
Une politique de transport à double vitesse ?
Offrir des tickets de transport à ceux qui viennent d’arriver, c’est bien. Mais pendant ce temps, combien de familles modestes peinent à financer leur abonnement ? Qui se soucie des travailleurs précaires, des étudiants surendettés, des retraités dont la pension suffit à peine à couvrir leurs déplacements ?
Une chose est sûre, la Métropole de Rouen sait où vont ses priorités. Et ce n’est visiblement pas du côté de ceux qui paient leurs impôts depuis des années…
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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