Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Safari humains à Sarajevo : quand certains occidentaux jouaient au tireur d’élite comme d’autres vont cueillir des olives (oui, on en est là)

Tu pensais avoir déjà tout vu dans le bestiaire des horreurs humaines ? Attends… On apprend qu’au beau milieu des années 90, pendant que toi tu collectionnais des pogs et que ta mère coupait la télé pour « protéger ton innocence », certains occidentaux auraient payé — oui PAYÉ — pour aller tirer sur des civils à Sarajevo.
Une sorte de « Paintball Extrême » version crimes de guerre, sponsorisé par le chaos balkanique.

Alors évidemment, la justice italienne enquête encore. (source : The Guardian) On dit « présumés », on dit « témoignages », on dit « à vérifier »… Moi j’entends surtout : l’humanité a encore réussi à inventer un concept plus dégueulasse que les influenceurs de Dubaï.

Le safari humain : parce que la bêtise n’a jamais de limite, elle a un budget

Selon l’enquête de Milan, plusieurs Italiens, français, allemands, anglais…seraient partis faire un petit week-end « tir sur civils » comme d’autres s’inscrivent à une retraite yoga.
Tarif : tu files ta petite enveloppe aux milices serbo-bosniaques de Karadzic et hop, accès illimité à ta séance de barbarie panoramique.

Et après ça, certains te diront que « l’homme est fondamentalement bon ».
Mais oui, bien sûr.
On a tellement envie d’y croire qu’on ferme les yeux très fort et on récite un mantra.

Évidemment, tout le monde tombe des nues (comme d’habitude)

L’Italie ? Choquée (mais pas trop, on connaît les cycles).
L’Europe ? Gênée, comme à chaque fois qu’elle réalise qu’elle est incapable de reconnaître une horreur en temps réel.
Les Balkans ? Eux, ça fait trente ans qu’ils savent.

Safari humains, mais « à confirmer » : la justice avance, l’indignation traîne

Pour être parfaitement honnête (même si l’honnêteté, c’est surfait), tout n’est pas encore juridiquement bouclé.
Mais enfin… on a des témoins, des récits concordants, des plaintes, des premiers éléments d’enquête.
Bref : il n’y a pas de fumée sans tir de sniper.

Et comme toujours, l’affaire ressort vingt ans après, pile au bon moment pour rappeler que :

  • L’horreur humaine a toujours un marché.
  • Et parfois même une clientèle.
  • Et que ce n’est pas seulement une histoire de Balkans : c’est une histoire de civilisation qui se regarde dans la glace… et ne se reconnaît pas.

Pendant ce temps, en France…

On s’indigne, on tremble, on retweete, on surjoue l’empathie…
Puis on retourne râler sur les prix du carburant.

Parce que, soyons honnêtes :
la compassion française a une durée de vie moyenne de 48h, et encore, seulement si BFM en parle trois fois par jour.
Après, pouf, évaporée.

Mon dernier mot

« Safari humains »…
On atteint un niveau d’abjection tel qu’on ne sait plus s’il faut vomir, pleurer ou écrire un article.
Devine ce que j’ai choisi.

Et si tout cela se confirme, ce ne sera pas seulement une tache sur l’histoire italienne :
ce sera un rappel brutal que l’Occident n’a rien d’un modèle moral — juste un maquillage qui craque sous la moindre chaleur.

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