Nicolas Dupont-Aignan brise le silence dans une vidéo sur « Le traité de l’OMS contre les pandémies » qui menace nos libertés et révèle le rôle de l’Institut Robert Koch sur la gestion de la Covid-19 en Allemagne qui a donné vie au scandale des « RKI Files ». Plongez dans cette enquête captivante et partagez votre réflexion sur Madame-Raleuse.com !
Scandale sanitaire en période de COVID-19
Ah, chers amis internautes, accrochez-vous à vos chaises ergonomiques et préparez-vous à un tsunami d’informations dévoilé par Nicolas Dupont-Aignan qui va faire frémir vos fibres digitales !
On va plonger tête la première dans le tourbillon médiatique, là où les tempêtes sont brassées avec une telle maestria qu’on pourrait presque y voir une forme d’art. Voici le bon vieux scandale en Allemagne, une affaire gigantesque qui émerge en plein cœur de la pandémie de COVID-19, tellement énorme qu’elle ferait passer Godzilla pour un lézard de compagnie.
C’est l’histoire captivante d’un site, probablement plus petit que votre salon, qui a, grâce à un charme indescriptible, persuadé la justice allemande de révéler les dessous croustillants du très distingué Institut Robert Koch (RKI) durant cette période tumultueuse. On découvre avec délice que ces experts, loin d’être les prophètes apocalyptiques du confinement, ont plutôt joué les trouble-fête, en révélant des opinions surprenantes comme celle où confiner durant la COVID-19, c’était un peu comme mettre un pansement sur une jambe de bois.
Puis vient le tour des masques FFP2, ces fameux masques portés comme des accessoires de mode durant la pandémie, mais qui, selon nos Sherlock Holmes allemands, se révélaient aussi utiles que des parapluies sous le soleil. Sans oublier le vaccin AstraZeneca, dont la confiance dans le contexte pandémique semblait être aussi stable qu’un château de cartes en pleine tempête.
L’intrigue se corse avec la gestion des privilèges pour les vaccinés, une idée aussi brillante que de naviguer en pédalo pendant un tsunami. Et n’oublions pas la France, qui, dans cette comédie pandémique, joue son rôle à merveille en cachant sous le tapis ces détails embarrassants, même aux yeux de son propre ministre de la Santé.
L’OMS, le chef d’orchestre des nations
Maintenant, laissez-moi vous parler du plat de résistance : l’OMS, cette organisation mondiale qui, au lieu de rester le gentil organisateur de la santé publique, semble vouloir devenir le grand chef des cuisines sanitaires internationales. Ah, et quel financement ! On dirait que c’est la foire au saucisson avec des tranches de billets verts venant de partout, notamment de ces généreux philanthropes privés.
Ah, voici donc le grand bal des libertés à l’ère du traité de l’OMS contre les pandémies, un spectacle où les nations dansent au rythme d’un orchestre dirigé par ces maestros en blouses blanches de l’Organisation mondiale de la santé. C’est le moment de dire adieu à vos valses autonomes en matière de santé publique, car maintenant, la musique vient d’ailleurs !
Imaginez un monde où l’OMS, tel un chef d’orchestre un peu trop zélé, décide de tout, de la façon dont on éternue jusqu’à la manière de se confiner. C’est une vraie partie de plaisir bureaucratique où votre gouvernement local n’est plus qu’un simple spectateur, applaudissant poliment les décisions prises à des milliers de kilomètres.
Vous pensiez décider par vous-même ? Oh, quelle naïveté charmante ! Dans le royaume de l’OMS, les directives sanitaires ne sont pas juste des conseils amicaux, mais des ordres à suivre au doigt et à l’œil. C’est un peu comme si votre vieille tante, celle qui a un avis sur tout, prenait le contrôle de votre vie, mais à l’échelle planétaire.
Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que le règlement intérieur de l’OMS, autrefois aussi contraignant qu’une recommandation de régime pendant les fêtes, s’apprête à devenir la loi du land.
Ce traité, mes amis, n’est pas juste un document ennuyeux rempli de jargon légal. Non, c’est le script d’une nouvelle série à suspense où la souveraineté nationale se fait thriller, et chaque épisode pourrait nous coûter un petit bout de liberté. Alors, restez à l’écoute, car la prochaine saison promet d’être riche en rebondissements, avec peut-être moins de libertés individuelles, mais sûrement plus de directives globales.
En conclusion, cette épopée nous dévoile les coulisses d’un monde sanitaire en pleine mutation, avec ses scandales, ses révélations et ses réglementations internationales qui pourraient bien redessiner les contours de notre souveraineté. Un grand merci à Nicolas Dupont-Aignan pour avoir partagé cette vidéo et lancé cet appel crucial contre le traité de l’OMS, Tout comme l’appel du Professeur Peronne, nous invitant à réagir pour l’avenir de notre santé mondiale. Partagez en masse, ce traité ne doit pas voir le jour !
Citation de Madame-Raleuse.com
Le traité de l’OMS: quand la santé mondiale devient un jeu de pouvoir.
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Le traité de l’OMS signe-t-il la fin de la souveraineté sanitaire des nations ? Partagez vos pensées et engagez-vous dans le débat en laissant un commentaire !
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