Plongez dans le monde impitoyable des géants industriels, qui gémissent sous le poids des taxes d’aéroports et d’autoroutes, tout en laissant la planète suffoquer. Dans cet article incisif de Madame-Raleuse.com, découvrez comment les gestionnaires d’aéroports et d’autoroutes tentent d’échapper à leur responsabilité écologique, et participez au débat brûlant : qui doit payer pour notre avenir vert ?
Des pleurs de gestionnaires
Ah, encore une fois, nos amis les gestionnaires d’aéroports et d’autoroutes se sentent lésés. Vous savez, ces pauvres âmes qui ont tant de mal à survivre avec leurs chiffres d’affaires astronomiques. Apparemment, une taxe pour financer la transition écologique leur semble tout à fait inappropriée. Comment osent-ils les embêter avec ces détails écologiques alors qu’ils ont des profits à compter ?
Et bien sûr, la question de la « rupture d’égalité » est soulevée. Parce que, voyez-vous, il est tout à fait normal que les géants comme ADP se sentent offensés par le simple fait qu’ils soient traités comme les autres. Ils méritent un traitement de faveur, n’est-ce pas ? Après tout, leur rentabilité moyenne de 10% ne va pas se maintenir toute seule, il faut bien aider un peu.
Les géants pleurnichards
Et les concessionnaires d’autoroutes, oh, les pauvres. Ils sont là à se plaindre de distorsions de concurrence et d’inégalités de traitement. C’est tellement touchant de voir ces entreprises multinationales se soucier tant du bien-être de leurs concurrents. Vraiment, on devrait leur décerner une médaille pour leur altruisme.
Et bien sûr, le gouvernement, toujours là pour défendre l’indéfendable. « Pas de caractère sérieux », qu’ils disent. Comme si le financement de la transition écologique n’était qu’une blague ! Mais bon, on peut toujours compter sur nos chers gestionnaires d’aéroports et d’autoroutes pour mettre en lumière les véritables enjeux de la nation.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand les géants pleurent sur leurs profits, la planète souffre en silence.
Exprimez-vous !
Et vous, pensez-vous que les grands gestionnaires d’aéroports et d’autoroutes devraient contribuer davantage à la transition écologique, ou sont-ils déjà suffisamment sollicités ? Partagez votre opinion en commentaire !
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