Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

SMS Macron–Ursula von der Leyen : quand l’Europe efface ses propres preuves comme un ado sur WhatsApp

Après les SMS Pfizer, voici les SMS Macron. Décidément, à Bruxelles, la mémoire institutionnelle tient plus de Snapchat que des Archives nationales.

Le texto fantôme de Macron

En janvier 2024, Emmanuel Macron envoie un message à Ursula von der Leyen via Signal. Sujet : l’accord UE–Mercosur et la colère prévisible des agriculteurs français.
En mai 2025, un journaliste d’investigation, Alexander Fanta (Follow the Money), demande à voir le fameux texto. La Commission confirme que oui, Ursula l’a bien reçu… mais que non, inutile de s’emballer, « ça ne changeait rien » aux négociations. Et surtout, dommage : il a été supprimé automatiquement. (source : EuroNews)

Pratique : quand c’est gênant, hop, poubelle numérique.

La défense de Bruxelles : « pas assez de place dans le téléphone »

La Commission invoque ses nouvelles règles : depuis 2022, Ursula a activé la fonction d’effacement automatique de Signal. Raison officielle ? Éviter les fuites et… gagner de la place dans son téléphone.
Parce qu’évidemment, supprimer les SMS présidentiels est une question de stockage, pas de transparence. Un disque dur externe, ça coûte sans doute trop cher pour l’UE.

Le journaliste : « pouf, plus de contrôle »

Alexander Fanta ne décolère pas :

« Si la Commission décide seule de ce qui mérite d’être conservé, tout contrôle juridique disparaît. »

Traduction : à ce rythme, c’est Bruxelles qui choisit ce que l’Histoire retiendra… et ce qu’elle oubliera opportunément.

Après le Pfizergate, le Macrongate ?

Ce nouveau cas renforce le parfum de déjà-vu : pendant le Covid, Ursula avait déjà « perdu » ses textos avec le PDG de Pfizer, Albert Bourla, concernant un contrat de 2,4 milliards d’euros. Les juges de la CJUE eux-mêmes avaient jugé la version de la Commission « pas plausible ». Mais les SMS ? Jamais retrouvés.

Désormais, ce sont les messages de Macron qui disparaissent dans le néant numérique européen. Transparence ? Confiance ? À ce stade, on se demande si les institutions ne confondent pas l’art de gouverner avec l’art de l’auto-effacement.

Conclusion

À force d’effacer ses propres traces, l’Europe ne ressemble plus à une démocratie transparente, mais à un ado qui supprime ses messages compromettants avant que ses parents ne fouillent son téléphone.
Le problème, c’est que là, les « parents », ce sont les citoyens. Et eux, ils ont payé l’abonnement.

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