Sur Madame-Raleuse.com, on ne prend pas de pincettes. Aujourd’hui, on vous parle d’un bras de fer bien français, entre Google et… devinez qui ? Les grands propriétaires de nos médias, ces gentils milliardaires qui préfèrent garder le contrôle sur l’info et la désinfo. Résultat : le test de Google visant à masquer les médias européens de ses résultats est suspendu en France. Pourquoi ? Parce que si Google démontre que l’impact des médias sur le trafic est faible, tout l’édifice médiatique français risquerait de s’écrouler… avec ses gros sous et ses gros égos.
Quand les milliardaires verrouillent l’info
En France, la « liberté de la presse » n’a rien de libre. Elle est détenue à 80 % par une poignée de milliardaires. Bernard Arnault, Rodolphe Saadé, Vincent Bolloré… ces noms ne vous disent rien ? Pourtant, ils contrôlent tout, des journaux papiers aux chaînes d’info en continu. Leur but ? Assurer que les récits médiatiques tournent toujours dans le bon sens – le leur.
Alors, imaginez un instant qu’un test de Google démontre que les médias européens (traduction : ceux de nos oligarques locaux) ne pèsent finalement pas grand-chose dans l’écosystème numérique. Imaginez que le trafic ne s’effondre pas malgré leur absence. Que se passe-t-il ? Leur pouvoir sur l’opinion publique vacille. Et ça, ni Bolloré ni Arnault ne peuvent le permettre.
La peur d’un monde sans propagande
Soyons sérieux : si le tribunal de commerce de Paris a forcé Google à suspendre son test, ce n’est pas pour protéger l’information. C’est pour protéger ceux qui fabriquent le récit médiatique. Sans leur visibilité garantie par Google, ces médias risqueraient de montrer leur vrai visage : celui d’outils de propagande entre les mains de quelques-uns.
Et quand on parle de propagande, on ne parle pas seulement de désinformation évidente. Non, on parle aussi de cette subtile mise en récit qui sert les intérêts économiques et politiques. Vous savez, cette douce manière de transformer des scandales en « faits divers », ou de faire oublier des sujets brûlants en nous distrayant avec la dernière robe de Kate Middleton.
Google, danger ou miroir ?
La vraie crainte derrière ce test de Google, c’est qu’il devienne un miroir impitoyable de la réalité médiatique. Si l’impact des médias européens s’avère négligeable, que reste-t-il de leur prétendue importance dans le débat public ? Ce test, c’est comme enlever les stabilisateurs d’un vélo pour voir s’il tient debout tout seul. Et devinez quoi ? Les médias français n’ont aucune envie qu’on découvre qu’ils roulent grâce à un moteur caché : celui de Google.
La France, exception ou prison dorée ?
En suspendant ce test, la France montre qu’elle n’est pas prête à jouer le jeu de la transparence. Pas étonnant dans un pays où les institutions comme l’Arcom ou l’AFP sont elles-mêmes contrôlées par les mêmes groupes qui possèdent les médias. Ici, la liberté d’information n’est pas menacée par un algorithme californien, mais par des actionnaires qui savent que contrôler l’info, c’est contrôler le peuple.
Citation de Madame-Raleuse.com
Google teste l’info, en France on contrôle la vérité.
Exprimez-vous : liberté ou illusion ?
Alors, chers lecteurs, que pensez-vous de cette affaire ? La France protège-t-elle réellement l’information, ou est-elle complice d’un système où l’info n’est qu’une marchandise au service des puissants ? Pensez-vous que Google aurait dû mener son test, quitte à bousculer un peu nos certitudes ? Exprimez-vous en commentaire, parce qu’ici, la parole est encore libre… enfin, pour le moment.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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