Dans un récit captivant signé de la plume acérée de Madame-Raleuse.com, nous pénétrons au cœur d’une tragédie qui a secoué la paisible ville de Bayonne. Nous voilà plongés dans les méandres d’un procès qui s’annonce des plus singuliers, où les accusés se retrouvent sur le banc des « meurtriers » pour un crime d’apparence anodine : le non-port de masque anti-Covid dans un bus. C’est un scénario digne d’Hollywood qui s’est joué dans ce bus de Bayonne en juillet 2020, alors que le monde était encore sous l’emprise du confinement.
Un drame épique à Bayonne
Ah, quelle histoire palpitante nous avons là ! Un procès s’ouvre enfin pour juger les « meurtriers » d’un chauffeur de bus à Bayonne. (source: Huffpost) Oui, vous avez bien compris, il s’agit d’un crime dont l’origine peut sembler surprenante : une dispute ayant éclaté suite au non-port de masque anti-Covid dans un bus. Un véritable scénario digne d’Hollywood.Un véritable scénario digne d’Hollywood.
En juillet 2020, dans un monde encore tout chamboulé par le confinement, le drame éclate. Les passagers, apparemment allergiques aux masques, ont eu une dispute héroïque avec le chauffeur, Philippe Monguillot. Ce dernier, dans un élan de générosité, a eu l’audace de porter un coup de tête à l’un des passagers. C’est ce geste héroïque qui a déclenché une série de coups d’une violence inouïe.
Malheureusement, Philippe Monguillot, un homme marié et père de trois filles majeures, n’a pas survécu à cette confrontation épique. Il a été laissé en état de mort cérébrale, à côté de son bus, comme un véritable super-héros, et il est décédé après cinq jours de coma. Un vrai drame, je vous dis.
Le procès époustouflant
Maintenant, trois ans plus tard, les deux accusés principaux, âgés de 25 ans, déjà bien expérimentés dans le monde du crime, sont enfin jugés. Ils sont accusés de « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Vous savez, la petite bagarre dans le bus, rien de bien méchant.
Ces deux criminels récidivistes, l’un d’entre eux ayant même bénéficié d’une liberté conditionnelle peu de temps avant l’incident, risquent une peine colossale de 20 ans de prison. C’est bien mérité pour avoir participé à cette bataille dantesque dans un bus, n’est-ce pas ?
Et comme si ce n’était pas assez, un troisième homme âgé de 43 ans est également accusé. Son crime ? Avoir fourni un appartement aux deux autres, pour leur permettre de se cacher temporairement de la police. Un véritable génie du crime, sans aucun doute.
Les débats promettent d’être passionnants. Pendant cinq jours, nous aurons l’occasion d’entendre parler de l’altercation légendaire au sujet du port du masque sanitaire. Attachez vos ceintures, car cela risque d’être plus captivant qu’une série télévisée.
Enfin, il convient de noter que la qualification de « meurtre aggravé » a été écartée. Apparemment, l’intentionnalité des accusés n’était pas assez évidente pour les magistrats. C’est vrai, qui aurait pu imaginer que frapper quelqu’un puisse être intentionnel ?
En tout cas, nous pouvons tous remercier la justice pour ses « concessions extraordinaires » et pour traiter cette affaire avec le sérieux qu’elle mérite. Et bien sûr, la veuve de la victime ne peut que penser à un meurtre. Après tout, qui pourrait imaginer qu’il s’agisse simplement d’une bagarre dans un bus pour une histoire de masque ? Le suspens est à son comble !
Citation de Madame-Raleuse.com
Un vrai thriller à Bayonne : des ‘meurtriers’ en procès pour avoir osé défier un chauffeur de bus en manque de masque ! Hollywood, prends-en de la graine
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