Madame-Raleuse.com se demande : pendant que Trump dégaine contre les géants de la tech, chez nous, on préfère regarder passer les décisions. Mais franchement, qui a peur de bousculer le « cartel de la censure » à la française ? Découvrez pourquoi l’audace américaine nous fait défaut… et riez (ou pleurez) en lisant la suite !
À quand chez nous ? Le cartel de la censure a encore de beaux jours en France !
Chez nous, pendant qu’on débat encore pour savoir si les réseaux sociaux sont responsables des « dégradations d’image de l’État » (rien que ça), Donald Trump, lui, passe à la vitesse supérieure. Hop, une nomination, une déclaration choc, et voilà Brendan Carr, nouveau shérif de la liberté d’expression aux États-Unis, prêt à dégainer contre les géants de la tech. (source : Ouest-France) Alors, Trump nous fait son numéro de chevalier blanc contre la censure, mais on se demande : et en France, c’est pour quand ?
Ici, c’est plutôt Netflix qui risque de se faire réguler pour manque de quotas de films français, pendant que Google continue tranquillement de bouffer nos données. Quant à un équivalent de Brendan Carr ? Ah, ça, non. Et en France, on préfère encore créer des commissions sur « l’éthique numérique » (traduction : on va en parler pendant trois ans, et rien ne changera). Pendant ce temps, Musk et Trump balancent des pavés dans la mare, et nous, on regarde en coin, un peu jaloux, mais surtout résignés.
« Le cartel de la censure » : mythe américain, rêve français ?
Alors, Trump parle de « cartel de la censure » comme s’il s’agissait d’une organisation mafieuse qui contrôle tout. Chez nous, on pourrait déjà commencé par essayer de démanteler le « club des copains de la modération », où des géants de la tech, des organismes obscurs et quelques agences de com’ dictent ce qui est acceptable ou non. Mais bon, ne rêvons pas trop : ici, on adore déléguer à Bruxelles les vraies décisions et débattre des heures sur le prochain décret anti-mèmes.
Et puis, soyons honnêtes, si un Brendan Carr made in France débarquait, ce serait pour vérifier si votre tweet sur la dernière réforme fiscale est suffisamment pro-gouvernement. Parce que la liberté d’expression, c’est bien, mais pas trop, hein, surtout quand ça dérange.
Régions rurales : internet ? Pas si vite !
Ah, l’accès à internet dans les zones rurales ! Carr promet monts et merveilles aux fermiers du Midwest avec Starlink, soutenu par le grand Musk. En France, l’équivalent, c’est quoi ? Des annonces grandiloquentes sur la fibre optique… suivies de silence radio pour les hameaux où le débit plafonne à 3 Mo/s. Peut-être faudrait-il envoyer Elon Musk en tour de France ? Mais attention, qu’il ne s’attarde pas trop : entre les grèves et les régulations, il risquerait de repartir en courant.
Et si on copiait les Américains… pour une fois ?
Alors, quand verra-t-on un régulateur français oser taper du poing sur la table et dire à Meta, Alphabet et compagnie : « Ici, c’est fini de jouer au Monopoly des idées » ? Pas demain la veille, à moins que ce soit pour instaurer une nouvelle taxe sur chaque clic. Pendant que Trump et ses copains lancent des projets XXL comme « Projet 2025 », nous, on a encore nos réunions PowerPoint pour définir la « stratégie numérique nationale 2030 ». Allez, courage, on finira bien par se réveiller… d’ici la prochaine décennie.
Alors, chers lecteurs, an quand chez nous ? Sentez-vous cette douce ironie : on regarde les États-Unis avec condescendance, mais avouez-le, un brin d’audace et un soupçon de chaos comme là-bas, ça ne ferait pas de mal à notre petit paysage numérique si… aseptisé.
Madame-Raleuse.com vous laisse méditer : et si l’avenir de la liberté d’expression passait par un clash façon Trump ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Et si la censure avait plus de liberté que nous ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Il est clair qu’en France, vous n’êtes pas censuré pour autant que vous êtes du côté de la doxa. Si vous osez émettre une autre opinion, vous êtes complotiste, fasciste, raciste, petainiste, poutiniste, bref, tout ce qui se termine en iste. Et bien sûr, il faut censurer ces mauvaises langues.
A quand un Trump français qui veuille redonner de la grandeur à la France et donner un bon coup de pied dans la fourmilière ?
Nous n’avons pas besoin d’un Trump français,il as des défauts et ses qualités. En France nous avons besoin d’un gouvernement citoyen pour les citoyens. Choisi par le peuple. Des travailleurs français qui sont vivent parmi le peuple et chacun dans leurs domaines aurait un ministère avec des comptes à rendre au citoyens. Enfin c’est m avis.