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Découvrez comment un Burger King a été transformé en arène de violence par les CRS lors d’une manifestation des gilets jaunes. Neuf agents risquent le procès pour leurs actes. Madame-Raleuse.com vous dévoile les détails croustillants de cette affaire explosive ! (source : Libération)

Le Burger King des violences policières : un ring improbable

Ah, le grand drame du Burger King ! En décembre 2018, alors que les « gilets jaunes » se réfugiaient dans un fast-food pour éviter la furie des CRS, ces derniers ont eu la brillante idée de transformer le restaurant en ring de boxe improvisé. Qui aurait cru que les nuggets et les matraques allaient se retrouver en compétition ?

Le parquet de Paris, dans un élan de rigueur sans précédent, a décidé de faire passer neuf CRS devant le tribunal pour violences volontaires aggravées. Oui, ces courageux défenseurs de l’ordre public sont accusés d’avoir tapé sur des manifestants et un journaliste comme si c’était une partie de Mortal Kombat. Heureusement, les images de leur exploit héroïque, diffusées depuis la vidéosurveillance du restaurant, ont fait le tour du web, rendant impossible l’éventualité que cet incident soit oublié comme une simple erreur de «l’emballage».

La comédie judiciaire : entre ironie et impunité

Il paraît que les CRS étaient armés jusqu’aux dents avec leurs matraques et boucliers, et ont joyeusement frappé des gens qui n’étaient pas en train de lancer des pavés mais de déguster des Whoppers. Les victimes étaient soit «au sol», soit en train de faire des signes de paix comme des pigeons en détresse. La grande ironie ? Tout cela s’est terminé par des ITT (incapacité totale de travail) de moins de huit jours – de quoi vraiment se poser des questions sur la nécessité de sortir les grands moyens.

Arié Alimi, avocat des victimes, a souligné que pour gilets jaunes à l’époque, les violences policières étaient aussi réelles que la licorne sur son bureau. Mais aujourd’hui, il est presque assuré que ces neuf vaillants CRS se retrouveront devant le tribunal – une sorte de récompense pour avoir participé à ce grand spectacle de la justice.

Quant à leur commandant, il a réussi à échapper aux poursuites en se planquant sous le statut de témoin assisté, comme s’il était un spectateur innocent d’un dérapage collectif où le chaos avait son propre code de conduite. En attendant, les victimes et les observateurs peuvent se réjouir : le spectacle judiciaire continue, promettant encore plus de drame et de révélations croustillantes sur ce Burger King devenu l’arène de la justice.

Citation de Madame-Raleuse.com

Quand un Burger King devient le ring des CRS : la justice doit-elle intervenir ?

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Que pensez-vous des forces de l’ordre transformant un fast-food en scène de violence ? Partagez votre avis dans les commentaires !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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One Comment

  1. La police britannique est armée, mais sur un mode très différent de ce qui se pratique en France. Un policier sur 20 dans le pays, et un sur 10 à Londres, est autorisé à porter une arme. Ils ont suivi une formation très stricte pour ça, avec notamment un suivi psychologique..
    Pourquoi la police britannique ne porte-t-elle pas d’arme ? = cliquez: https://www.caminteresse.fr/societe/pourquoi-la-police-britannique-ne-porte-t-elle-pas-darme-11148280/
    En Grande-Bretagne, 95 % des policiers ne sont équipés que d’une matraque. En cas de problème grave, ils font appel aux 5 % restants, qui sont spécialement entraînés à l’utilisation d’armes à feu (pistolet, pistolet-mitrailleur et fusil d’assaut).

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