Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

774 détenus libérés en douce : le tour de passe-passe du ministère de la Justice Gérald Darmanin

Une peine de prison sur deux ne se fait déjà pas derrière les barreaux. Mais cet été, la Justice française a battu son propre record de grand écart : 774 détenus libérés discrètement, comme on sortirait les poubelles au petit matin pour éviter les voisins.

Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, grand apôtre de la « fermeté », joue les matamores devant les caméras, mais en coulisse, il déroule le tapis rouge aux procureurs : « Libérez, mais surtout ne le dites pas trop fort ». Résultat ? Des centaines de condamnés dehors, bracelets électroniques en guise de punition et placements extérieurs rebaptisés miracles logistiques.

774 libérations, mais surtout pas un mot

Ce chiffre – 774 – devrait s’afficher en Une de tous les journaux. Mais chut ! On préfère parler de futures prisons qui sortiront peut-être de terre dans dix ans plutôt que d’avouer que, dans l’immédiat, on fait du déstockage judiciaire façon grande braderie d’été.
À Metz, 139 détenus évaporés en quelques semaines. Pas un conte de fées : juste une consigne claire, passée sous le manteau.

Le double discours à la française

  • Devant le public : on promet rigueur, ordre et punition.
  • Dans les bureaux climatisés : on distribue bracelets et libérations comme des bons de réduction.

Un procureur, sous couvert d’anonymat, le dit sans fard : « Le ministre ne veut pas être accusé de laxisme », tout est dit, alors il fait semblant.

Le scandale qui enfle mais qu’on maquille

On refuse d’appeler ça « vider les prisons ». Le ministère s’en défend avec vigueur : « Nous n’avons pas ce pouvoir. » Mais enfin, 774 détenus dehors en un mois, si ce n’est pas vider, c’est quoi ? Redécorer ? Optimiser les flux ?

Le problème n’est pas seulement la contradiction : c’est la duplicité. On ment aux Français en prétendant renforcer la fermeté pénale, alors qu’en réalité on allège la charge comme on purge un disque dur saturé.

Quand la com’ écrase la réalité

Le ministre préfère insister sur ses 3 000 nouvelles places de prison promises. De la poudre aux yeux, puisque même construites, elles ne compenseront pas les dizaines de milliers de détenus en surnombre. Pendant ce temps, les chiffres sortent : 774 libérés en douce, c’est du jamais vu depuis le Covid.

Et ça ne s’appelle pas une réforme, ni une politique, ni une vision. Ça s’appelle un coup de balai sous le tapis.

774 : le chiffre qui devrait coller au front du ministère

Il restera comme le symbole d’une Justice qui prétend tenir les rênes mais qui, en réalité, lâche la bride. 774, ce n’est pas une anecdote, c’est une gifle aux discours martiaux, un chiffre qui dit tout : entre fermeté affichée et portes ouvertes assumées, la vérité est qu’on navigue à vue.

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