Chine : la nouvelle frontière de la peur avec des virus à « haut risque » et l’élevage de fourrure

Santé
chine ferme a fourure

Préparez-vous pour une nouvelle dose de frissons : Madame-Raleuse.com vous dévoile comment les élevages de fourrure en Chine pourraient bien être le terreau des prochaines pandémies. Entre virus de « haut risque » et conditions inhumaines, cette révélation risque de vous faire réfléchir… et frémir ! (source : Futura science)

Des fermes de fourrure : un club VIP pour virus

Ah, la Chine. Toujours là pour nous rappeler que l’industrie de la fourrure est non seulement un exploit de cruauté animale, mais aussi une véritable fête pour les virus en quête d’une nouvelle aventure. La dernière trouvaille ? Une armée de virus de « haut risque » qui, apparemment, se sentent chez eux dans les élevages d’animaux à fourrure.

L’élevage d’animaux à fourrure en Chine, c’est un peu comme une boîte de nuit exclusive pour virus. Avec des conditions d’hygiène qui pourraient faire passer les films d’horreur pour des comédies romantiques, ces fermes sont le terrain de jeu rêvé pour les pathogènes en quête de notoriété. Les scientifiques, dans leur infinie sagesse, ont décidé de faire un petit tour d’horizon de cette joyeuse fête virale et ont trouvé… eh bien, une invitation VIP pour 125 virus différents. Oui, vous avez bien entendu. Un véritable festival viral, avec des invités tels que le virus de l’encéphalite japonaise, qui a décidé de faire une apparition chez les cobayes, et le norovirus qui s’est invité à la soirée des visons.

Une nouvelle édition du coronavirus : parce que les choses peuvent toujours s’aggraver

Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont même découvert un coronavirus de type HKU5, jusqu’ici réservé aux chauves-souris. Apparemment, ce virus est un peu comme le Prince Harry des virus : il n’était jamais censé être dans la lumière, mais le voilà prêt à se frotter aux récepteurs humains, histoire de voir si ça lui convient mieux que les grottes obscures.

Alors, quelle est la solution ? Une régulation stricte ? La mise en quarantaine des animaux ? Peut-être. Mais ne nous leurrons pas : dans un pays où l’industrie de la fourrure est aussi vieille que les dynasties impériales, il y a peu de chances que ces recommandations soient prises au sérieux. On pourrait aussi suggérer de fermer ces fermes pour de bon, mais cela risquerait de déplaire aux amateurs de mode qui pensent que les visons sont le summum du chic.

En attendant, réjouissons-nous de cette nouvelle source de peur. Après tout, il n’y a rien de tel qu’une bonne dose de panique virale pour égayer notre quotidien. Merci, Chine, pour ce spectacle de virus en direct. C’est comme si l’épidémie de Covid-19 avait juste été un trailer pour la vraie production, et nous, les spectateurs, nous nous accrochons à notre popcorn en attendant le prochain épisode.

Citation de Madame-Raleuse.com

Quand les élevages de fourrure deviennent le QG des virus : bienvenue dans le prochain chapitre de la peur sanitaire !

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Les élevages de fourrure en Chine sont-ils le prochain danger viral pour l’humanité ? Quels autres risques ignorons-nous ? Partagez vos pensées en commentaires !

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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