Urgences fermées : quand Frédéric Valletoux prétend que tout va bien malgré le chaos

Madame-Raleuse.com frappe encore avec une analyse cinglante sur les urgences fermées cet été. Frédéric Valletoux, en pleine déconnexion, nous dit que tout va bien, pendant que 61 % des services d’urgence baissent le rideau. Et si c’était vous qui deviez choisir entre attendre un lit ou attendre un miracle ? Découvrez le décalage entre discours et réalité…

Urgences fermées : Frédéric Valletoux, ou l’art d’ignorer le chaos

Ah, l’été 2024… Les cigales chantent, les barbecues fument, et les urgences ferment. Une saison presque idyllique, si ce n’était pour ces petits désagréments comme, disons, 61 % des services d’urgences qui décident de partir en vacances forcées. Mais pas de panique ! Notre cher ex-ministre de la Santé, Frédéric Valletoux, nous a rassurés cet été : « Les tensions ne sont pas aussi fortes que l’an dernier ». Un peu comme si, pendant l’incendie de Notre-Dame, on nous disait que « ça brûle moins que le mois dernier, donc tout va bien ».

Les chiffres, ces vilains traîtres, sont pourtant formels. Selon Samu Urgences de France, deux tiers des services d’urgence ont dû fermer au moins une fois en juillet-août. Mais bien sûr, ce n’est qu’une coïncidence, sûrement liée aux équipes qui voulaient s’accorder un peu de repos après avoir sauvé des vies à la chaîne toute l’année. Qui peut leur en vouloir, après tout ? Les vacances, c’est sacré ! Pas autant que la santé publique, mais bon… On ne va pas chipoter.

L’indicateur lit brancard : la nouvelle star des urgences

Et pendant ce temps, Valletoux, dans sa grande sagesse, nous assurait que « ça va un peu mieux ». Un peu comme si un capitaine de bateau vous disait, en plein naufrage : « Ne vous inquiétez pas, il y a moins d’eau qu’il y a cinq minutes ». Peut-être qu’il confondait tension avec extinction des feux. Parce qu’à force de fermer des lignes médicales et de voir des Smur partir en congé illimité (174 fermetures de lignes mobiles cet été, record battu !), on pourrait presque croire que le plan d’été, c’était d’arrêter de traiter les urgences.

Quant aux fameux « indicateurs lit brancard », proposés pour informer sur le nombre de patients en attente d’un lit d’hospitalisation… On imagine déjà l’affichage : « 12 heures d’attente, allez prendre un café », ou « Lit disponible dans 48 heures, prévoyez un sac de couchage ».

Citation de Madame-Raleuse.com

Fermer des urgences en plein été, c’est comme éteindre l’incendie avec de l’essence.

Exprimez-vous !

Et vous, que feriez-vous si votre service d’urgence local fermait ses portes au moment où vous en avez le plus besoin ? Partagez vos expériences et donnez-nous votre avis en commentaire !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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