Stellantis et la chute de l’électrique : une grève historique pour une crise annoncée

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Madame-Raleuse.com revient avec un nouvel article qui électrise les esprits ! Stellantis annonce une grève historique en Italie pour protester contre la chute de la production, et devinez quoi ? La Fiat 500 électrique s’effondre. L’électrique, un échec inévitable ? Découvrez pourquoi l’avenir vert semble avoir pris un coup de jus… (source AutoActu)

L’électrique, une promesse en panne de batterie

Ah, l’électrique, ce grand sauveur de l’humanité, cette promesse d’un avenir radieux où les oiseaux chantent, où les océans sont propres, et où nous conduisons tous des voitures qui sifflent comme des bouilloires ! Mais apparemment, tout le monde n’est pas d’accord, surtout chez Stellantis en Italie. Et si on en croit les syndicats, cette aventure verte vire à la catastrophe industrielle.

Le 18 octobre, c’est la date annoncée pour une grève « historique » chez Stellantis. Oui, vous avez bien entendu, historique ! Une grève d’une telle ampleur, qu’on n’en avait pas vu depuis quarante ans. Parce qu’après tout, rien de tel qu’une bonne vieille grève nationale pour protester contre une chute de production qu’on n’avait pas anticipée. Ah mais attendez, on parle bien de ces voitures électriques que tout le monde est censé adorer et acheter par tonnes, non ?

Avec une chute de 25,2% de la production au premier semestre 2024, il faut croire que même la promesse d’une autonomie qui vous permet tout juste de faire un aller-retour au supermarché n’a pas convaincu les foules. Qui l’eût cru ? Après tout, qu’est-ce que quelques heures d’attente à une borne de recharge dans une aire d’autoroute déserte pour sauver la planète, n’est-ce pas ?

La Fiat 500 électrique et la chute de l’empire Stellantis

Et puis parlons des ventes de la Fiat 500 électrique. Suspendez vos applaudissements, car elles aussi sont en chute libre. Le pauvre petit bijou de Mirafiori a été mis au placard pendant un mois. Pourquoi ? Parce que même en Italie, le pays qui a inventé le dolce vita, on a du mal à trouver quelqu’un qui veut claquer son salaire annuel dans une voiture dont la seule dolce vita est celle du stationnement prolongé à la borne de recharge.

Mais bien sûr, ce n’est pas de la faute de l’électrique ! Non, c’est la faute des acheteurs, ces ingrats qui osent regarder le prix exorbitant d’une voiture verte et se dire : « Peut-être que cette vieille bagnole diesel n’est pas si mal, finalement ». Et là, on se tourne vers le gouvernement Meloni qui, dans toute sa sagesse nationaliste, reproche à Stellantis de ne pas produire assez en Italie, comme si l’avenir radieux de l’électrique devait se fabriquer exclusivement sous le ciel ensoleillé de Turin. Ah, patriotisme, quand tu nous tiens !

Et bien sûr, la cerise sur le gâteau : la suspension du projet d’une méga-usine de batteries électriques. Parce que pourquoi pas ? Tant qu’à voir tout s’effondrer, autant le faire en beauté. Imaginez, une méga-usine de batteries dans le sud de l’Italie, mais non, trop simple. TotalEnergies, Mercedes et Stellantis ont tous décidé de suspendre ce rêve avant même qu’il ne prenne forme. L’avenir électrique ? Il semble s’être pris une belle décharge.

Citation de Madame-Raleuse.com

Quand l’électrique vire à la panne sèche, même Fiat jette l’éponge.

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L’électrique, un rêve brisé ou simple panne temporaire ? Donnez votre avis : Laissez-nous un commentaire, est-ce que l’électrique tient encore ses promesses ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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