Elle s’appelle Ewa Zajączkowska-Hernik, elle est polonaise, elle ne mâche pas ses mots, et elle vient de dire à Ursula ce que des millions de citoyens européens crient dans leur tête… mais que personne n’ose lui balancer en pleine figure. Jusqu’à maintenant.
1 minute 30 de vérité brute, non filtrée par Arte ou BFM
C’est une scène qui devrait être rediffusée en boucle dans toutes les cuisines, garages, et salles de pause d’Europe. Face à une Ursula von der Leyen perchée sur son trône technocratique, l’eurodéputée polonaise balance tout. Et on pèse nos mots : tout.
- L’erreur d’avoir nommé Ursula à la tête de la Commission ? “Un immense regret.”
- Le Pacte Vert européen ? “Une destruction programmée de notre agriculture et de notre économie.”
- Les lubies climatiques ? “Une série de délires qui nous appauvrissent tous.”
- Le Pacte migratoire ? “Une trahison des femmes et des enfants européens.”
Et bam. Une cartouche à chaque ligne. Ursula ne sait plus où poser son regard – et nous, on savoure chaque seconde.
Le Pacte Vert ? “Voici ce qu’on en pense…”
À un moment, l’eurodéputée ne parle plus : elle montre. Elle déchire du papier en citant ce qu’elle rejette, un geste très clair pour dire tout le mépris que ses électeurs — et tant d’autres à travers l’Europe — ressentent pour ce Green Deal qui n’a de vert que le logo.
Parce que oui, pendant que les élites se caressent l’égo avec des objectifs carbone irréalistes, les agriculteurs crèvent, les PME ferment, et les citoyens paient la taxe “écologique” à la pompe, à la caisse, et bientôt à chaque respiration.
Le Pacte migratoire ? “Une insulte aux femmes d’Europe”
Et là, c’est le KO technique. Ewa, mère elle-même, regarde Ursula droit dans les yeux et lâche :
“En tant que femme, en tant que mère, comment pouvez-vous promouvoir un pacte qui met en danger des millions de femmes et d’enfants européens ? Vous êtes responsable de chaque viol, chaque attaque, chaque drame causé par des migrants illégaux. C’est vous qui les avez invités.”
On aurait pu croire à une exagération. Mais dans des rues où des enfants ne peuvent plus aller seuls à l’école, où des femmes ne courent plus le soir, qui peut encore nier le lien entre insécurité et politique migratoire laxiste ?
“Vous devriez siéger au tribunal de la honte, pas à la Commission”
Et pour finir en beauté :
“Votre place n’est pas à la Commission européenne, mais devant un tribunal de la honte.”
Applaudissements silencieux dans toute l’Europe. Parce qu’on sait tous que cette femme n’a pas été élue par les peuples, mais placée là par des jeux de coulisses, dans l’opacité la plus totale. Et qu’elle applique, sans sourciller, une feuille de route écrite ailleurs… loin des peuples, et encore plus loin du bon sens.
L’Union européenne tombe… mais Ursula chute en première
Ce discours n’est pas qu’une charge contre une femme. C’est un diagnostic sans appel sur l’état de l’UE. Une machine déconnectée, arrogante, gouvernée par des gens que personne n’a choisis, et dont les décisions ruinent l’avenir des peuples européens.
Et pendant ce temps, les médias, eux, regardent ailleurs. Ou nous parlent du “risque populiste”. Comme si dire la vérité était devenu un crime.
Alors merci, Ewa. Pour ta voix. Pour ton courage. Pour ta claque bien méritée.
On n’attend plus que la version française. Ou italienne. Ou hongroise. Ou allemande. Bref… que l’Europe se réveille, une minute trente à la fois.
Je vous jure que ces 1minute 30vont vous faire un bien fou. Ewa Zajączkowska-Hernik, eurodéputée polonaise
— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) April 8, 2025
dit, yeux dans les yeux, à Ursula von der Leyen ce que les peuples européens pensent d'elle. pic.twitter.com/hSJAZF6PCv
——————————–
Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
——————————–