Madame-Raleuse.com frappe encore ! Ursula von der Leyen, alias « La hyène suscitant la haine », orchestre l’Europe d’une main de fer sous un gant de bureaucratie. Comment en est-on arrivé là ? Restez, ça vaut le détour.
Ursula von der Leyen : la reine de l’Europe en mode « Game of Thrones »
Ah, Ursula, ce personnage fascinant tout droit sorti d’une série Netflix sur la politique européenne, où les intrigues de palais remplacent les dragons. Cette présidente de la Commission européenne, avec son sourire glacial et son agenda bien affûté, semble avoir trouvé la formule parfaite pour régner sans partage : diviser pour mieux régner, version bureaucratie bruxelloise. (source : L’express)
Exit les fortes têtes : bienvenue aux pions parfaitement placés
Dans ce théâtre de marionnettes, les fortes personnalités comme Thierry Breton ou Margrethe Vestager, trop bruyants, trop visibles, ont été priées de faire leurs bagages. Place à une équipe soigneusement choisie, où personne n’aura assez de pouvoir pour lui faire de l’ombre. Ursula adore la « collégialité », ou comme on l’appelle à Bruxelles : « l’art subtil de tout décider seule en laissant les autres se battre pour des miettes ». Elle a même poussé l’élégance jusqu’à créer des missions floues et se chevauchant, histoire de garantir que tout finit par remonter à elle. Et voilà comment on transforme la Commission en un « one-woman-show » avec quelques figurants.
Le casse-tête des portefeuilles : qui fait quoi ?
Prenez la défense européenne, par exemple. Qui en est responsable ? Est-ce Kaja Kallas, l’Estonienne ? Andrius Kubilius, le Lituanien ? Ou bien Stéphane Séjourné, notre fier Français ? La réponse est simple : personne, ou plutôt Ursula. Elle adore laisser ses commissaires patauger dans le flou artistique pendant qu’elle décide en douce. Un vrai chef-d’œuvre d’efficacité européenne, où chaque décision est reportée à la Saint-Glinglin pendant que Washington regarde tout ça avec un grand bol de pop-corn.
La « présidentialisation » : un modèle bien rodé
Depuis les années 1990, les traités européens ont progressivement transformé le rôle de président de la Commission en celui d’un Premier ministre avec des super-pouvoirs. Ursula a juste ajouté sa touche personnelle : un leadership sans contrepoids, où elle impose sa ligne politique en finesse, tout en laissant les chefs d’État se chamailler comme des gamins autour d’une cour de récré. Bruxelles, capitale de l’Europe ? Non, capitale du chaos organisé, savamment orchestré par une Ursula qui regarde tout ça avec la satisfaction d’un maître du jeu.
Bruxelles : le nouveau Westeros
Au final, Ursula von der Leyen a réussi l’impossible : transformer la Commission européenne en une saga épique où les intrigues de pouvoir se jouent dans des couloirs feutrés, à coups de missions floues et de dossiers mal définis. Avec une équipe réduite au rôle de spectateurs et une opposition anesthésiée, elle règne en maître. Alors, Donald Trump, prends des notes : Ursula n’a peut-être pas de casquette rouge, mais elle sait très bien comment se maintenir au sommet.
Citation de Madame-Raleuse.com
À Bruxelles, tout est flou, sauf le pouvoir d’Ursula.
Exprimez-vous !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Est-ce la naissance d’une vraie démocratie européenne, ou juste une version high-tech de la monarchie ? On attend vos commentaires… avec sarcasme, bien sûr.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Ursula sait très certainement comment faire, mais ses laquais savent eux comment faire pour ne pas faire de l’ombre à la dame et risquer de perdre le beurre qu’ils ont bien onctueux dans leur assiette !
Dis plus vulgairement ils ont coupés leurs couilles pour ne pas compromettre leur gamelle qui n’est pas celle d’un mec au RSA !