Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Candace Owens tourne en dérision les Macron avec ses t-shirts #FreeEmmanuel en pleine bataille judiciaire

Ah, la France… pays du vin, du fromage, et désormais… du procès transatlantique sponsorisé par Candace Owens en personne. Oui, vous avez bien lu. Quand l’Élysée décide de transformer une querelle d’ego en affaire internationale, ça coûte cher. Très cher.
Résultat : une procédure judiciaire contre la journaliste américaine, motivée (selon ses mots) par la pure paranoïa de Brigitte Macron. Et pour financer sa défense, Owens sort la grosse artillerie… en coton bio : la gamme #FreeEmmanuel.

Libérer Emmanuel ? Non, pas Macron – lui est déjà prisonnier de son image – mais le concept d’un président qui arrêterait de se comporter comme l’extension judiciaire de son épouse.

Quand la parano frôle le grand art

Candace Owens ne mâche pas ses mots : si Emmanuel attaque, c’est parce que Brigitte l’a décidé. Et pourquoi ? Parce qu’on a osé parler d’elle. Un mot de travers, et hop :

Et pendant ce temps, la question que personne ne veut poser à haute voix : qui paie ? Les Macron ? Ou nous ?
Parce qu’entre les frais d’avocats américains et le prestige d’un procès qui fleure bon le règlement de comptes version feuilleton Netflix, ça sent le budget qui ne vient pas de la petite caisse personnelle.

T-shirts, slogans et second degré

Les t-shirts #FreeEmmanuel sont là, vendus avec la conviction que, pour affronter la machine politique française, mieux vaut un bon slogan et quelques milliers de sympathisants que des excuses plates.
Owens promet : elle ira « jusqu’au bout ». Traduction : préparez les pop-corn, le show ne fait que commencer.

Moralité

Quand un couple présidentiel transforme un différend privé en feuilleton judiciaire à plusieurs millions, il ne faut pas s’étonner que l’adversaire sorte la carte du marketing. Et si la paranoïa est bien le carburant de cette affaire, on peut déjà prévoir que la facture, elle, tournera à l’essence premium… payée avec quelle carte bleue, déjà ?

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