Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Affaire Candace Owens : le cabinet d’avocats américain des Macron vaut des millions… mais qui règle la note ?

Il y a des histoires où la vraie question n’est pas “pourquoi” mais “avec quoi”. Et l’affaire Candace Owens version Macron en est un exemple parfait.
On sait désormais que le couple présidentiel a mandaté un prestigieux cabinet d’avocats américain pour attaquer la polémiste américaine, accusée de relayer des propos jugés diffamatoires. (source : The Guardian) Prix estimé : plusieurs millions de dollars. (source : Blick) Et là, forcément, une question nous brûle les lèvres : qui paie ?

Option 1 : Les Macron

Ce serait la version “tout va bien, circulez” : un couple présidentiel qui prend sur ses fonds personnels pour laver son honneur outre-Atlantique. Un acte noble, presque romantique… sauf que l’addition ressemble plus à un budget de ministère qu’à un chèque de notaire. On parle de cabinets qui facturent à 1 500 dollars de l’heure.
Bref, soit Emmanuel a vendu sa collection de chaussettes de l’ENA, soit…

Option 2 : Nous

Et là, évidemment, le malaise monte. Parce que si c’est le contribuable qui aligne, on n’est plus dans la défense privée mais dans la diplomatie judiciaire aux frais de la princesse. Et en pleine période de serrage de ceinture — suppression de jours fériés, inflation, hôpitaux à l’agonie — ça passerait aussi bien qu’un steak saignant dans un repas vegan.

Transparence zéro, soupçons à gogo

Pour l’instant, aucun détail officiel sur l’origine des fonds. Les services de l’Élysée jouent la montre, espérant que l’actualité estivale et les débats sur Bayrou feront diversion. Pendant ce temps, le cabinet US facture… facture… et refacture.

Moralité

L’affaire Candace Owens n’est plus seulement une bataille d’image. C’est aussi un test grandeur nature de la notion de “compte séparé” entre vie privée et fonction présidentielle. Et tant que personne ne répond à la question “Qui paie ?”, chacun y va de son scénario.
Mais une chose est sûre : aux États-Unis, l’honneur coûte cher. Et en France, il pourrait bien se payer… avec vos impôts.

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