Après avoir plongé la France dans une dette abyssale, Bruno Le Maire quitte le navire pour la Suisse. Madame-Raleuse.com revient avec son style piquant pour vous livrer une analyse mordante de ce départ qui en dit long sur l’état du pays. Découvrez pourquoi l’ex-ministre s’installe dans les montagnes suisses pour y jouer les professeurs après avoir laissé une ardoise de 1000 milliards d’euros à la France. Vous allez rire (ou pleurer).
Bruno Le Maire : le capitaine quitte le navire en pleine tempête
Ah, Bruno Le Maire, notre cher capitaine, a décidé de quitter le navire France avant qu’il ne touche le fond. Quelle surprise ! Après avoir habilement piloté le pays droit dans une dette abyssale de 1 000 milliards d’euros, le voilà prêt à endosser un nouveau costume, celui de professeur d’économie à Lausanne. C’est sûr, la Suisse est beaucoup plus calme. Pas de gilets jaunes, pas de réformes fiscales à expliquer à des millions de Français exaspérés… Ça doit être rafraîchissant.
Imaginez la tête des élèves suisses : ils vont se retrouver face à un homme qui a fait de l’endettement une discipline olympique. Peut-être qu’il leur expliquera comment on peut accumuler autant de dettes tout en restant zen, comme si tout allait bien. « Messieurs, dames, voici comment on fait exploser un budget tout en gardant un sourire en coin. Ah, et n’oubliez pas, la France, c’est ma passion, je ne la quitte jamais vraiment. » Quel sens du devoir !
Le retour du héros : sauveur ou simple observateur ?
Alors bien sûr, il nous assure qu’il continuera à habiter en France – la patrie avant tout, hein – mais pour enseigner en Suisse. On compatit pour ceux qui espéraient qu’il paierait ses impôts là-bas, au pays du fromage et des montres à coucou. Non, non, Bruno reste parmi nous, en observateur attentif, prêt à revenir nous sauver dès qu’il aura fini ses cours sur “comment ruiner une économie nationale en sept leçons”.
Et que dire de son adieu vibrant à Bercy, avec un soupçon de Michel Sardou pour le dramatisme. « Je vous aime, mais je pars » ? Ah, Bruno, c’est touchant. Mais n’oublions pas que pendant que tu aimais la France, tu l’as aussi bien endettée. Mais bon, il paraît que ses plus grands combats politiques sont devant lui. Peut-être un jour, il reviendra avec une cape de super-héros pour nous sauver de ce Titanic qu’il a si bien contribué à faire couler.
En attendant, bonne chance aux étudiants suisses ! Si vous avez des doutes, souvenez-vous : votre professeur a laissé une dette colossale derrière lui, mais il vous enseignera sûrement l’art de faire semblant que tout va bien. Un vrai maître dans l’art de l’illusion économique.
Citation de Madame-Raleuse.com
Bruno, champion de la dette, mais prof d’économie !
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