Bill Gates, ce philanthrope bienfaiteur de l’humanité et héros autoproclamé de la santé mondiale, vient de nous gratifier d’un acte de contrition bien huilé. Invité à s’expliquer sur ses relations passées avec Jeffrey Epstein, le fondateur de Microsoft a admis que « c’était stupide » de l’avoir fréquenté. Bah oui, quelle surprise ! Qui aurait pu deviner que s’acoquiner avec un milliardaire impliqué dans un réseau de trafic sexuel ne donnerait pas bonne presse ?
Le philanthrope pris au piège de sa propre « bêtisse »
Dans une interview accordée au Wall Street Journal, Bill Gates a reconnu qu’il avait été « assez stupide » en pensant que ces rencontres pourraient bénéficier à ses nobles causes, notamment celles de sa fondation sur la santé mondiale. Ah oui, bien sûr. Une discussion de salon entre un « bienfaiteur » et un multi-milliardaire aux amitiés douteuses, pour sauver la planète ? On y croit !
Le hic, c’est que cette fréquentation toxique lui a coûté cher. Non seulement en termes d’image, mais aussi dans sa vie personnelle : son mariage avec Melinda French Gates en a pris un coup. Melinda, qui avait eu le malheur de croiser Epstein une fois, l’avait trouvé « repoussant ». Un détail qui, semble-t-il, n’a pas suffi à convaincre Bill de couper les ponts plus tôt.
Du chantage, un scandale et des regrets bien tardifs
Pour rendre les choses encore plus croustillantes, il semblerait qu’Epstein ait tenté de faire chanter Bill Gates en menaçant de révéler une liaison avec une joueuse de bridge russe, Mila Antonova. Comme quoi, les milliardaires aussi se font piéger par leurs propres petits arrangements ! Mais rassurez-vous, Bill Gates est désormais un homme neuf. Il assure aujourd’hui qu’il est « définitivement plus prudent » quant à ses relations. Trop tard, l’ami, la tache sur le CV est indélébile.
Une tempête sous couvert de remords ?
Résumons : Bill Gates nous vend une belle histoire de « je me suis fait avoir, mais j’ai compris la leçon », tout en minimisant les faits. Ce n’est pas qu’il n’aurait pas dû rencontrer Epstein, c’est que c’était une « erreur ». Une différence sémantique cruciale quand on veut faire croire qu’on est victime de son propre manque de discernement.
Mais bon, tant qu’il continue à prêcher la bonne parole sur la vaccination et la santé mondiale, tout devrait bien se passer, non ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Se repentir après coup, c’est bien. Éviter les scandales dès le départ, c’est mieux.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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