Molnupiravir

Dans le passionnant récit de Madame-Raleuse.com, intitulé « Le mystère du Molnupiravir », nous plongeons au cœur de la controverse entourant cette pilule de Merck qui semble transformer le Covid-19 en véritable artiste de la mutation. Accrochez-vous, car cette histoire réserve bien des surprises !

L’éloge de la « Pilule créative » et les Super-variants en embuscade

Ah, enfin, une pilule miracle qui rend le virus plus créatif ! Qui aurait cru que Merck avait réussi à transformer le Covid-19 en artiste de la mutation ? (source : 20Minutes) C’est génial, vraiment génial.

L’OMS avait pourtant applaudi cette petite pilule, mais maintenant, on nous dit qu’elle pourrait être à l’origine de super-variants. Vous savez, ces méchants petits monstres qui se baladent en faisant des grimaces et en éternuant sur tout le monde. Mais bon, c’est juste « théorique », vous savez, rien de grave, vraiment.

Merck avait sorti cette pilule avec tant d’espoir. Enfin, une alternative aux vaccins et aux traitements compliqués à administrer. Mais voilà, le Molnupiravir, alias Lagevrio, a un petit défaut : il fait des mutations dans le génome du virus. Pas de problème, hein, c’est juste une petite réécriture génétique, rien de méchant.

Le mystère du Molnupiravir

Les autorités sanitaires avaient eu un peu peur au début. La FDA américaine avait approuvé ça du bout des lèvres, et les Français avaient carrément dit « Non, merci ». Mais bon, qui écoute les autorités de toute façon ?

Maintenant, on nous sort une étude qui prétend que le Molnupiravir est en train de jouer au scénariste avec le génome du virus. Ils ont même trouvé une « signature » spécifique, comme si le virus signait ses mutations d’une petite griffe élégante. C’est mignon, non ?

Bien sûr, Merck se défend en disant que c’est juste une coïncidence. Rien à voir avec la pilule magique. Ce ne sont que des « associations circonstancielles ». Ouais, bien sûr, et les licornes existent aussi.

Des chercheurs sérieux disent que ces mutations ne sont peut-être pas dangereuses en elles-mêmes, mais qu’elles pourraient nous réserver des surprises à l’avenir. Des surprises comme Omicron, vous savez, ce petit numéro de danse du virus qui a fait fureur sur les pistes de contamination.

Alors, que faire ? Arrêter de prescrire le Molnupiravir ? Les chercheurs se contentent de hausser les épaules et de dire aux autorités sanitaires de se débrouiller. Après tout, c’est leur problème, pas le nôtre.

En résumé, le Molnupiravir, c’est comme un feu d’artifice dans le génome du virus. Ça explose, ça brille, et on ne sait jamais vraiment où ça va atterrir. Mais bon, tant que c’est « théorique », pourquoi se prendre la tête ? Vous avez de la fièvre et vous toussez ? Pas de souci, prenez une petite pilule, ça va sûrement bien se passer. À moins que le virus ne décide de se réinventer en super-star de la pandémie. C’est du suspense à l’état pur, non ?

Citation de Madame-Raleuse.com

Merck transforme le Covid-19 en artiste de la mutation avec sa pilule Molnupiravir. Un numéro de haute voltige dans l’univers du virus

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Qu’en pensez-vous de cette incroyable histoire de la pilule Molnupiravir et de ses supposés super-variants ? Croyez-vous que cette pilule soit vraiment à l’origine de mutations du virus, ou est-ce simplement une coïncidence ? Votre opinion compte, partagez-la dans les commentaires ci-dessous !

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