Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Cymes et Véran en panique : quand « Kennedy » vire les experts, les VRP du vaccin hurlent au complotisme

Michel Cymes, alias le médecin de plateau, a encore frappé. Sur C dans l’air, il lâche, l’air catastrophé :

« Aux États-Unis, on a mis un ministre de la Santé, Robert Kennedy Jr., un Anti-Vax, qui vire tous les experts scientifiques… ça devient dingue ! »

Déjà, appeler Kennedy « Anti-Vax », ça plante le décor. Ensuite, l’alerte tombe : les complotistes et les antivax sont à la fête, attention danger !

À côté, Olivier Véran, l’ancien ministre reconverti en commentateur professionnel, fait la moue et joue les Cassandre.

Les pleureuses de plateau

Deux ex-symboles de la Macronie sanitaire, tous deux piégés dans leur rôle :

  • Cymes, le showman médical, qui recycle ses indignations comme d’autres recyclent des sketches.
  • Véran, l’ex-ministre de la Santé, VRP officiel de Big Pharma, qui continue de donner des leçons alors qu’il a cramé des milliards en commandes douteuses.

En duo, ils agitent l’épouvantail favori : « antivax », « complotistes », « ça devient dingue ».

La méthode : disqualifier, toujours

Pas besoin d’arguments, pas besoin de débats : il suffit d’étiqueter.
– Tu vires des experts ? → Tu es un complotiste.
– Tu critiques les décisions sanitaires ? → Tu es un antivax.

Cette rhétorique creuse sert surtout à protéger leur entre-soi : une bulle où la science officielle est sacrée et où toute remise en cause devient hérésie.

Quand le ménage commence ailleurs

Aux États-Unis, Kennedy Jr. fait le ménage.
En France, Cymes et Véran se transforment en pleureuses télévisées, effrayées à l’idée que la remise en cause traverse l’Atlantique.

Leur peur n’est pas la fin de la science.
Leur peur, c’est la fin de leur monopole sur leur vérité médiatique.

Quand Cymes se met à bafouiller sur le nom de Kennedy, c’est tout un symbole : ces mandarins ne comprennent plus rien à ce qui se joue.
Ils n’écoutent pas, ils répètent.
Et surtout, ils insultent — « complotistes », « antivax » — comme si cela pouvait encore masquer la panique.

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