AGIRC-ARRCO : le casse du siècle signé Bercy

Quand l’État fait les poches des salariés… en appelant ça « solidarité inter-régimes ».

Quel est le mot ? Vol ?
Quel est le nom ? État ?
Et quelle est la méthode ? Simple : on repère une caisse bien gérée, bien remplie, on pique dedans, et on appelle ça un transfert.

Bienvenue dans le hold-up version Macron : Agirc-Arrco, la retraite complémentaire des salariés du privé, se fait braquer légalement.
300 millions la première année. 2 milliards d’ici 2028. Pas une réforme. Pas une concertation. Une ponction.

L’État affamé lorgne sur une caisse qui fonctionne

Car voilà l’arnaque :
🔹 Agirc-Arrco n’est pas gérée par l’État.
🔹 Elle est excédentaire, bien gérée par les partenaires sociaux (syndicats + patronat).
🔹 Et surtout : elle appartient aux salariés du privé, qui ont cotisé toute leur vie sans jamais faire de bruit.

Et comme dans une mauvaise série Netflix, quand une caisse est bien gérée, l’État s’invite pour « rééquilibrer » les comptes du régime général, lui, en déficit chronique.

Le braquage le plus propre de la Ve République

Imaginez un braqueur qui entre dans une banque en disant :

« C’est pas un vol, c’est un ajustement budgétaire inter-établissements. »

C’est ça, la le trio magique Bercy-Cofidis-Caisse-à-outils : prendre l’argent là où il est, sans rien donner en échange, au nom d’un vague principe de solidarité forcée.

Si vous faites ça avec l’entreprise d’un voisin, ça s’appelle détournement de fonds.
Quand c’est l’État, ça s’appelle une « contribution exceptionnelle ».

Le privé paie, le public dépense

Les salariés du privé financent déjà le système général à travers leurs cotisations.
Mais ce n’était visiblement pas suffisant.
Alors maintenant on va se servir directement dans leur épargne retraite complémentaire, celle qu’ils avaient gagnée, légitimement.

Et personne ne bouge.
Tout le monde prépare ses vacances pendant qu’on vide le vase à coup de louches.
On attend quoi ? Une alerte rouge pour qu’on comprenne que l’argent ne tombe pas du ciel mais s’envole par décret ?

« Quand une mafia pique dans une caisse, on dit que c’est du racket. Quand l’État le fait, c’est de la gestion solidaire. » – Madame-Raleuse

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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