Vaccins Covid : l’affaire des SMS entre Ursula von der Leyen et Pfizer – quand la transparence passe par la case oubli

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Quand la transparence politique prend un coup de fil (ou plutôt de SMS) en pleine pandémie. Madame-Raleuse.com vous embarque dans l’affaire des messages échangés entre Ursula von der Leyen et le patron de Pfizer. À la clé ? Des milliards et des zones d’ombre qui arrivent enfin au tribunal de l’UE. Découvrez ce qu’ils ont peut-être caché.

Quand des SMS à milliards pourraient tout révéler

Ah, les SMS échangés en pleine pandémie, ces petits bouts de texte qui, parait-il, ont le pouvoir de sauver des vies. Ou du moins de conclure des contrats de plusieurs milliards d’euros. Mais bon, qui pourrait être intéressé par de simples messages échangés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Albert Bourla, le grand manitou de Pfizer ? Le New York Times peut-être ? En tout cas, eux, ils ont bien envie de savoir ce que contenaient ces fameux textos. Après avoir frappé à toutes les portes – sans succès – le journal a décidé d’en faire une affaire juridique. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin, après tout ?

Le 15 novembre, c’est donc au tribunal de l’UE, à Luxembourg, que se jouera cet épisode digne des plus grandes sagas judiciaires. On parle ici de SMS, pas de simples lettres, hein ! Imaginez un peu ce que ça pourrait révéler : des emojis clin d’œil pour négocier des milliards de doses ? Des « LOL » pour alléger les lourdeurs bureaucratiques ? Le mystère reste entier. Et si ces SMS n’étaient rien de plus qu’un énième exemple de la désinvolture moderne où même les transactions monumentales passent par des plateformes dignes des ados ? On en rirait presque si les enjeux n’étaient pas aussi gigantesques.

Une disparition bien opportune des SMS

Mais attendez, ce n’est pas si simple. La Commission européenne, dans sa grande sagesse, nous dit que ces messages sont… éphémères. Oui, vous avez bien lu. Comme les souvenirs d’une soirée trop arrosée, ils se sont envolés, volatilisés, poof ! Impossible de les retrouver. Dommage. Ou pas, selon à quel point on croit aux miracles numériques. Après tout, un SMS, c’est si facile à effacer. Mais bon, soyons optimistes : peut-être qu’en fouillant sous le canapé bruxellois, on finira par remettre la main dessus. À défaut, on peut toujours demander à Albert Bourla s’il a activé les notifications sur son téléphone.

Pendant ce temps, le New York Times insiste, au nom de la liberté d’informer. La justice de l’UE, qui a bien d’autres casseroles à gérer, se penchera donc sérieusement sur cette affaire en novembre. Une décision ? Ah, pas avant des mois, bien sûr. Entre-temps, tout le monde se mordra les doigts d’impatience. Ou pas. Parce qu’au final, qui se soucie vraiment de ce que contenaient ces SMS, maintenant que la pandémie est (presque) derrière nous ? Quelques doses de trop, quelques milliards de dépenses injustifiées, un soupçon de conflit d’intérêts… Rien de bien nouveau sous le soleil européen.

Citation de Madame-Raleuse.com

Des milliards négociés par texto, mais où sont passés les messages ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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