Surprise ! Madame-Raleuse.com révèle une vérité dérangeante sur les Jeux Olympiques : la Seine, censée être la scène de performances sportives exceptionnelles, se transforme en véritable bassin de microbes. Découvrez les révélations qui pourraient bien faire éclater le rêve olympique en plein vol ! (Source : Doctissimo)
La Seine, nouvelle attraction aquatique de Paris
Le mercredi 7 août, Mediapart a dévoilé le saint graal des données : les résultats des prélèvements quotidiens réalisés dans la Seine par les équipes d’Eau de Paris. Spoiler : la qualité de l’eau était plus proche de celle d’un bouillon de culture que de celle d’une piscine olympique pendant l’épreuve de relais mixte de triathlon du 5 août…
La qualité de l’eau n’était suffisante que deux jours sur dix Oui, vous avez bien lu. D’après les analyses couvrant la période du 27 juillet au 5 août, la Seine n’a été considérée comme potable que deux jours, les 30 et 31 juillet. Pour le reste du temps, les niveaux de bactéries étaient dignes d’un film d’horreur : Escherichia coli (E. coli) et entérocoques intestinaux en libre-service. Ces petites bestioles sont connues pour provoquer des douleurs abdominales, des diarrhées, des vomissements et, cerise sur le gâteau, de la fièvre.
Le jour du triathlon, le 5 août, les autorités ont relevé la modeste somme de 436 unités formant colonie (UFC) par 100 millilitres d’entérocoques au port du Gros-Caillou. C’est un peu comme si le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP) avait dit : « Pas de panique, c’est juste un petit flirt avec la limite ! » (la limite étant fixée à 400 UFC/100 ml, bien sûr). Et puis, le port du Gros-Caillou n’est pas tout à fait sur le parcours de triathlon, donc pas de souci.
Les athlètes, la Seine et les mystères médicaux
Les autorités, honnêtes comme des politiciens sous électrocardiogramme, Mediapart, dans son élan de franchise, a pointé du doigt le manque de transparence des autorités concernant ces résultats, en particulier avec l’arrêt des publications hebdomadaires sur la qualité de l’eau depuis le début des Jeux. Comme quoi, ce n’est pas seulement les performances sportives qui ont leurs hauts et leurs bas !
Des maladies chez les athlètes ? Peut-être, mais qui peut dire ? Jusqu’ici, le lien entre l’état de la Seine et les maladies des athlètes était négligé. Mais avec les révélations de Mediapart, les infections peuvent bien provenir de ce splendide mélange de contaminants. La triathlète belge Claire Michel, qui a dû se retirer après être tombée malade, avait fermement démenti une infection à E. coli. Elle a plutôt attrapé un virus mystérieux, car bien sûr, personne ne se poserait de questions sur la qualité de l’eau. Après trois jours à rendre le contenu de son estomac, elle a finalement eu besoin d’une clinique pour se remettre sur pieds.
Malgré ces préoccupations sanitaires dignes d’un épisode de « Dr House », les épreuves continuent. Et devinez quoi ? Le port du Gros-Caillou est toujours sur le parcours. Quelle ironie, n’est-ce pas ?
Citation de Madame-Raleuse.com
La Seine : plus de bactéries qu’une soirée barbecue, moins de clarté qu’un mystère médical.
Exprimez-vous !
Croyez-vous vraiment que les Jeux Olympiques devraient se dérouler dans une Seine pleine de contaminants ? Partagez votre avis ci-dessous !
La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
Vous pouvez aussi me retrouver sur Reporter Citoyen. Venez découvrir de nombreux autres articles rédigés par des citoyens reporters engagés dans la quête de la vérité. Venez nous rejoindre !
Alors si vous voulez rester informé(e) malgré cette répression féroce, abonnez-vous vite à la newsletter de Madame-Raleuse.com, C’est GRATUIT !