seine tratlon

Sur Madame-Raleuse.com, découvrez comment les JO de Paris 2024 ont révélé une facette inattendue de la Seine, transformant l’eau de Paris en une épreuve de résistance épique pour nos triathlètes. Accrochez-vous, l’ironie et le sarcasme sont au rendez-vous ! (source : Le Parisien)

La Seine et les défis olympiques

Ah, la Seine ! Cette majestueuse artère parisienne qui, pour le coup, ne cesse de nous surprendre. Qui aurait cru qu’une rivière célèbre pour son romantisme et ses bateaux-mouches deviendrait la star incontestée de cette saison des Jeux Olympiques ? Et pourtant, pour une modique somme la Seine promettait un spectacle inoubliable et nous offre en réalité un spectacle aquatique des plus… authentiques. On comprend pourquoi Macron n’a pas tenu sa promesse de se jeter dans cette eau pure !

Le triathlon féminin s’est déroulé dans la Seine, et on peut dire que cette compétition restera dans les annales. Jolien Vermeylen, athlète belge au palmarès modeste mais aux commentaires percutants, a eu la chance de goûter à la Seine de façon tout à fait originale. « J’ai bu beaucoup d’eau », a-t-elle déclaré, avec l’espoir, sans doute naïf, de ne pas finir avec une nouvelle étiquette médicale. La Seine, en effet, ne se contente pas de l’eau à la Coca-Cola. Non, elle préfère offrir un cocktail unique de surprises olfactives et visuelles.

Quand l’eau de la Seine devient une épreuve olympique

À écouter Vermeylen, la Seine est un peu comme un vieux film d’horreur :

« En nageant sous le pont, j’ai senti et vu des choses auxquelles on ne devrait pas trop penser », a-t-elle révélé.

Que pourrait-on attendre d’autre d’une rivière qui a déjà fait sa réputation en attirant des poissons fêtards et des mystères en tous genres ? Mais rassurons-nous : ce n’est pas parce que l’eau était, disons, un brin turbulente que les organisateurs ont décidé de la transformer en piscine à boue. Non, non, ils ont simplement pris un « petit miracle » comme solution. Après tout, avec plis d’un milliard d’euros investis, un miracle par jour, c’est le minimum syndical.

L’annulation de l’épreuve était impensable, comme le souligne Vermeylen. « Une honte pour l’organisation, pour Paris, pour la France », dit-elle. Imaginez un peu, la France qui, après avoir dépensé plus d’un milliard d’euros pour assainir l’eau, devait se résoudre à annuler une compétition à cause d’un petit désagrément météorologique ! Non, il fallait que les athlètes bravent l’eau de la Seine, peu importe qu’elle ressemble davantage à une soupe de poissons qu’à une piscine olympique.

L’association Surfrider Foundation, quant à elle, est encore plus alarmée par la présence d’E.Coli dans l’eau. Mais soyons honnêtes, qui a besoin d’un concours de triathlon pour rappeler qu’une eau claire est, au mieux, un mythe parisien ?

Citation de Madame-Raleuse.com

La Seine, l’incontournable piscine de Paris, a prouvé que même 300 millions d’euros ne suffisent pas à transformer de l’eau de rivière en nectar olympique.

Exprimez vous !

Pensez-vous que les JO auraient dû annuler les épreuves en Seine ? Partagez vos pensées et commentaires sur cette épique mésaventure aquatique !

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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One Comment

  1. Mettre les athlètes dans la Seine ,hahaha , ridicule … en tous cas , ça démontre a quel point l’égo d’une personne peut être stupide pour qu’il accepte de le faire . Ils auraient dû y aller en marchant sur la tête .

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