Sur Madame-Raleuse.com, nous avons une nouvelle qui va vous faire réfléchir sur les JO de Paris 2024. Entre triathlète belge hospitalisée et une Seine plus sale que jamais, découvrez comment le rêve olympique se transforme en cauchemar bactérien. Lisez la suite pour tout savoir sur ce fiasco aquatique. (source : Sport)
Une triathlète à l’hôpital et la Seine en fête
Ah, la Seine, ce joyau liquide de Paris, a encore fait parler d’elle. Cette fois-ci, elle a réussi à transformer Claire Michel, triathlète belge en pleine forme, en une infirmière de luxe avec une infection à E. coli. En attendant de découvrir si la Seine a encore des plans pour elle, Claire est bien installée à l’hôpital depuis quatre jours, se remettant de ses vertiges gastriques dignes d’un grand cru… de bactéries.
Le comité olympique belge, visiblement en mode dramatique, a décidé de retirer l’équipe de triathlon de la compétition mixte qui était prévu ce lundi matin. Mais bien sûr, la Seine est déjà une star des bas-fonds, donc c’est une surprise pour personne. À l’issue de la course individuelle, sa compatriote Jolien Vermeylen, qui n’a pas échappé à la grande expérience gustative de l’eau de Seine, a confié avec une légèreté désarmante qu’elle n’avait pas trouvé la rivière très “Sprite” comme elle aurait espéré.
La Seine : une épreuve pour le moindre des malheurs
Après tout, nager sous un pont et voir des choses que l’on préférerait ignorer, c’est la quintessence du triathlon, non ? Quant au COIB, leur indignation est palpable. Ils espèrent sérieusement que les futures compétitions seront clarifiées à l’avance, comme si quelqu’un allait se réveiller demain avec une recette magique pour rendre l’eau de la Seine potable. Ils réclament une garantie de jours d’entraînement et de compétition, ce qui est presque aussi réaliste que de demander à la Seine de se transformer en piscine olympique.
Voilà donc la Seine qui continue de régner en maître du chaos, laissant les athlètes et les organisateurs avec une fois de plus la douce promesse de « leçons tirées »… et probablement quelques nuits blanches supplémentaires en perspective.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand la Seine se transforme en terrain de jeu pour bactéries, même les athlètes doivent prendre un ticket à l’hôpital.
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Après un milliard d’euros dépensés pour dépolluer la Seine, comment expliquez-vous que les athlètes finissent encore à l’hôpital ? Partagez votre avis en commentaires !
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