campagne vaccination frisme

Madame-Raleuse.com frappe encore : quand un hôpital transforme la vaccination en tombola, on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. « La seringue d’or », ça vous pique ? (source : Le Parisien) Découvrez cette histoire entre absurdité et biscuits roses.

Ah, le centre hospitalier de Fismes, ce havre de créativité où l’on réinvente la prévention médicale comme une kermesse de village ! Pour inciter à se faire vacciner, quoi de mieux qu’un concours digne d’un loto du dimanche ? À la clé, un panier garni Fossier, rempli de biscuits roses pour adoucir l’amertume du vaccin. N’est-ce pas là une idée de génie ? Ou peut-être l’œuvre d’un brainstorming alimenté par un surplus de café et un manque de recul ?

La seringue en or, ou comment piquer l’intérêt des sceptiques

On imagine la scène : des communicants enthousiastes, convaincus qu’offrir des gâteaux pour une piqûre, c’est LE geste qui va renverser la méfiance vaccinale. « Pas convaincu par les bénéfices pour la santé ? Et si on ajoutait des biscuits ! » Après tout, rien ne dit « protégez les plus vulnérables » mieux qu’une boîte de douceurs sucrées, non ?

Et pour pimenter l’affaire, un tirage au sort ! Parce que, soyons honnêtes, si vous hésitiez encore à tendre votre bras, l’idée de devenir le grand gagnant d’un concours où votre seule contribution est une injection pourrait bien vous convaincre.

Fake ou pas fake ? L’ère de la confusion

L’affaire aurait presque pu passer pour une blague du Gorafi – d’ailleurs, beaucoup l’ont cru. Mais non, c’est bien 2024 et cette initiative, aussi « originale » soit-elle, était bien réelle. Quand même, chapeau aux graphistes de l’affiche : il fallait un talent certain pour créer une campagne si improbable qu’elle a déclenché un débat sur sa véracité.

Suspension… ou auto-sabotage ?

Face à l’indignation, le centre hospitalier a rapidement reconnu l’ »inapproprié » de la démarche. Traduction : « Nous avons peut-être un peu trop joué la carte de l’animation festive. » Résultat, la tombola vaccinale est suspendue, mais pas la campagne vaccinale, évidemment.

Et demain, quoi ? Un bon d’achat pour une coloscopie ?

On tremble à l’idée de ce que le futur réserve. Un abonnement à une box de vin pour une mammographie ? Une carte de fidélité pour chaque analyse sanguine ? La santé publique est-elle désormais une question de goodies et de tirages au sort ? Et pourquoi s’arrêter là ? Vinci pourrait bien sponsoriser un concours de la « vignette d’or » pour chaque kilomètre taxé !

Le vrai message ?

Si l’intention était de sensibiliser, c’est réussi : tout le monde parle de Fismes. Mais peut-être aurait-il fallu miser sur des arguments un peu plus… sérieux ? Ou alors, soyons fous, laissons les biscuits aux goûters et la santé aux professionnels.

Citation de Madame-Râleuse.com

Se faire vacciner pour des biscuits : la santé publique ou le retour des jeux du cirque ?

Exprimez-vous !

Et vous, jusqu’où seriez-vous prêt à aller pour un panier garni ? Une seringue pour des gâteaux, ça vous inspire quoi ? Partagez votre avis en commentaire, on veut tout savoir !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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One Comment

  1. Laisser la santé aux professionnels ? C’est le meilleur moyen pour ne pas sortir de la maladie ! Ces dits professionnels aiment tout ce que vous voudrez mais certainement pas la santé qui, pour eux, signifie le chômage ! Car la santé ne fait pas tinter le tiroir-caisse alors que voulez-vous qu’ils foutent avec la santé, ce serait une catastrophe industrielle. Mais ces dits professionnels sont des champions dans le domaine de la maintenance des maladies induites par la malbouffe généralisée, des millions de malades, un nombre toujours en expansion, une matière première docile, corvéable à merci et, cerise sur le gâteau, tellement reconnaissante devant les miracles de la blouse blanche qu’ils sont prêts à mourir dans les règles plutôt que d’essayer de guérir en dehors de celles-ci ! Voilà une preuve de plus que la foi n’a pas besoin de preuves. Amen.

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