agriculteurs en colère

Entre la détresse des agriculteurs et un gouvernement qui préfère menacer plutôt que d’agir, on touche le fond. Vous voulez savoir pourquoi Retailleau et sa « tolérance zéro » sont devenus le symbole de l’absurde ? Lisez la suite !

Agriculteurs en colère : bienvenue au théâtre de l’absurde !

Ah, voilà qu’on y est ! Nos chers agriculteurs, exaspérés, mettent enfin un coup de pied dans la fourmilière. Et qui débarque sur scène pour leur répondre ? Un certain Bruno Retailleau, (eh oui encore un BRUNO) alias le ministre de l’Intérieur version « tolérance zéro », mais toujours avec un sourire crispé pour la photo officielle. Ce brave Bruno a tout compris à la souffrance des champs : manifestez, oui, mais dans les clous, hein, pas de blocages, pas de violence, pas de vagues… sinon BAM, les forces mobiles débarquent comme un épisode de « Gendarmes et voleurs ».

Non mais, franchement, c’est beau. Retailleau, dans toute sa splendeur, vient expliquer aux agriculteurs que leur détresse légitime, c’est bien gentil, mais « pas trop longtemps, les gars, parce que bloquer une route, ça met le bazar dans nos belles autoroutes Vinci ! ». Quel sens de l’écoute ! Quelle humanité ! Allez-y, exprimez-vous, mais sur un créneau bien balisé, en silence, et si possible en signant un formulaire de bonne conduite.

L’accord Mercosur (ou autre absurdité bureaucratique), parlons-en. Voilà un deal qui semble taillé sur mesure pour étrangler encore un peu plus notre agriculture. Mais non, tout va bien : le gouvernement « veut tout faire pour l’agriculture«  enfin, sauf défendre ses intérêts face à l’Europe ou revoir des accords injustes. Macron, lui, a dû promettre à un moment qu’il serait le sauveur des campagnes, avant de partir régler d’autres problèmes, peut-être sur Mars, qui sait. Et Michel Barnier ? Ah, le voilà qui revient, le sauveur en costard, mais uniquement pour serrer des mains et faire des sourires gênés devant Ursula von der Leyen. Ursula, qui, entre deux signatures, lui explique que l’accord sera validé de toute façon.

Les syndicats agricoles, eux, sont prêts à se battre.

La FNSEA joue les modérés, pendant que la coordination rurale sort la grosse artillerie : blocage alimentaire en vue. On se prépare donc à une belle foire d’empoigne où chacun joue son rôle : les agriculteurs dans la rue, Retailleau dans sa caserne, et Macron… euh, quelque part, mais sûrement pas là où ça chauffe.

Et pendant ce temps, les petites fermes familiales, celles qui faisaient vivre nos terroirs, continuent de disparaître à une vitesse folle. Depuis 2017, les chiffres donnent le tournis. Mais que fait l’État ? Ah oui, il menace ! Pas de solution pour les fermes, mais des forces de l’ordre prêtes à intervenir au moindre bouchon. On est loin de la liberté, l’égalité, et la fraternité.

On attend la suite avec impatience, mais soyons honnêtes, ça sent mauvais. Très mauvais. Allez, Retailleau, continue de menacer, ça fera sûrement pousser les cultures plus vite.

Bonne soirée, et vive la République… ou ce qu’il en reste. 🌾

Citation de Madame-Raleuse.com

Manifestez, mais restez sages, sinon Retailleau débarque avec les forces mobiles !

Exprimez-vous !

Est-ce normal qu’on étouffe nos agriculteurs pendant qu’on signe des accords qui les achèvent ? Donnez votre avis dans les commentaires !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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