Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Liberté d’expression en France : bienvenue dans la démocratie bâillonnée, version 2025, avec modération intégrée et censure sous cellophane

Ou comment transformer la République des Lumières en start-up de la pensée conforme.

Il était une fois, dans une République qui se disait libre, un principe sacré : la liberté d’expression. Puis est venu le temps du « oui, mais… », des lois Pleven, Gayssot, Taubira, Avia, et de toute la joyeuse bande des « modérateurs de la vérité ». Résultat : vous avez encore le droit de parler… mais seulement si ça ne dérange personne. Et surtout pas les institutions.

Chut, on t’écoute (et on t’efface)

Aujourd’hui, le « choc des idées », c’est bon pour les éditos aseptisés des chaînes d’État. Pour le reste ? Bienvenue dans l’ère de la post-liberté :
– Tu peux parler, mais pas trop fort.
– Tu peux écrire, mais pas sur tout.
– Tu peux critiquer, mais que ton propre camp (et encore).

Sinon ? T’es censuré. Pardon, « modéré ».
Une censure propre sur elle, bien peignée, qui ne met pas en prison — faut pas exagérer — mais te démonétise, t’invisibilise, te poursuit, ferme ta chaîne, ou t’accuse de haine pour avoir dit que l’eau, c’est mouillé.

La démocratie selon Macron & co : liberté d’aimer leur vision du monde

Pendant que C8 ferme boutique pour cause de « manque de pluralisme », France Télévisions et Radio France continuent d’aligner les subventions pour vanter la « bonne parole républicaine » avec une diversité d’opinion digne d’un comité de validation soviétique.
– Droite et extrême droite muselées.
– Centre lavé à la Javel.
– Gauche et extrême gauche en open bar sur toutes les chaînes publiques.

Et pendant ce temps, les « antiracistes agréés » deviennent les nouveaux commissaires politiques, armés de leur Label Officiel de Vertu. C’est beau, la France inclusive.

Le danger ? Ce n’est pas le mot. C’est l’interdiction du mot.

La vraie menace, ce n’est pas la radicalité des propos, c’est l’interdiction radicale de les entendre. L’ennemi, ce n’est pas l’excès de liberté, c’est l’étouffement organisé de tout ce qui dépasse du cadre.
Dire qu’on veut une monarchie ? C’est « anti-républicain ».
Douter d’un récit officiel ? C’est « révisionniste ».
Rire d’une idéologie ? C’est « haineux ».
Et bientôt : respirer sans autorisation sera « inapproprié ».

L’avenir ? Une pensée unique sous contrôle parental

En résumé, la liberté d’expression est désormais un service sous abonnement, avec algorithmes, filtres et comité d’approbation.
On ne vous fait plus taire. On vous évapore.
On ne vous juge plus. On vous cancel.
Et surtout, on vous accuse d’extrémisme si vous réclamez… un débat.

« Le peuple n’a pas besoin de savoir. Il doit croire. »
— Devise officieuse de la République post-2025

Et maintenant ?

Vous avez encore le droit de lire cet article. Profitez-en. La prochaine version pourrait être interdite pour « trouble à l’ordre algorithmique ».

Libérer les mots, c’est rendre au peuple le droit de ne pas penser comme sa télé.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*