Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

L’Union européenne interdit les voyages en Russie : quand les sanctions deviennent un passeport pour nulle part

Bravo l’Europe ! Après avoir réussi à mettre un prix sur le CO₂, voilà qu’elle met désormais une frontière sur vos envies d’ailleurs.
Depuis le 19ᵉ paquet de sanctions, adopté le 23 octobre 2025, les tour-opérateurs européens n’ont plus le droit de proposer des voyages en Russie. Oui, même pour voir les dômes de Saint-Basile, même pour un week-end vodka-balalaïka. Défense d’y aller, citoyen modèle.

Objectif officiel : punir Poutine, pas Pierre ni Pauline

Selon Bruxelles, cette mesure vise à “limiter les revenus touristiques de la Russie qui pourraient financer la guerre en Ukraine.”
Sur le papier, c’est noble : chaque euro refusé à Moscou, c’est un missile de moins sur Kiev.
Mais dans la vraie vie ? C’est surtout un citoyen européen de plus puni pour avoir voulu visiter un musée.

Les tour-opérateurs français, allemands, italiens et bulgares ont donc reçu l’ordre d’annuler tous les circuits, croisières et séjours.
Et s’ils osent contourner, ils risquent des sanctions financières.
Pendant ce temps, les Russes continuent de voyager… en Chine, à Dubaï ou en Turquie, tranquillement.

Une liberté de déplacement sous surveillance

Alors, on résume :

  • Vous pouvez aller à Bali, Dubaï ou Riyad sans problème.
  • Vous pouvez même bronzer au Qatar, paradis des droits de l’homme.
  • Mais pas en Russie, car Bruxelles a décrété que le tourisme est désormais un acte politique.

Oui, on ne parle pas d’un embargo sur des armes ou des technologies sensibles : on parle de vacances.
Les séjours culturels sont désormais considérés comme une atteinte à la sécurité européenne.
C’est beau, cette Europe de la liberté.

Et devine qui paie la note ?

Les grands mots du communiqué (“effort de guerre”, “valeurs démocratiques”, “solidarité européenne”) cachent mal la réalité :
ce sont les agences locales, les guides et les voyageurs européens qui trinquent.
Et, bien sûr, le citoyen lambda, qui n’a rien demandé, mais voit ses libertés fondre au nom de la “résilience collective”.

On voulait isoler la Russie ? On a surtout isolé les Européens.

Le double discours permanent

L’Union européenne adore parler de liberté de circulation.
Mais attention : libre de circuler, oui, tant que c’est dans la bonne direction.
Vers l’Est, c’est dangereux.
Vers le Sud, c’est instable.
Vers le Nord, c’est cher.
Résultat : vous finirez à Lisbonne, en short, à manger des pasteis, en vous sentant vaguement coupable d’avoir du soleil.

Et quand la présidente de la Commission explique qu’“il ne s’agit pas de restreindre la liberté de mouvement mais de sanctionner une économie hostile”, on a envie de lui offrir un globe terrestre et un dictionnaire des synonymes.

Le tourisme, nouvelle arme géopolitique

Ce 19ᵉ paquet de sanctions, c’est un chef-d’œuvre de technocratie punitive :

  • on interdit le GNL russe,
  • on bloque le stablecoin A7A5,
  • on surveille les diplomates russes,
  • et on… interdit les voyages en Russie.

Tout est dans le même sac : du missile hypersonique au guide Michelin.
Le tourisme devient un champ de bataille : une “arme douce” au service d’une “politique dure”.
Et vous, citoyen, vous êtes devenu la munition.

Un air de déjà-vu

Souviens-toi : on nous avait vendu le pass sanitaire comme une mesure temporaire, “exceptionnelle”.
Aujourd’hui, on a un pass géopolitique invisible.
Pas besoin de QR code, c’est Bruxelles qui tamponne votre liberté selon la météo diplomatique.

Aujourd’hui la Russie, demain qui ?
La Chine ?
La Hongrie ?
L’Inde ?
Le concept de “voyager librement” devient un musée à lui seul — qu’on ne pourra bientôt plus visiter non plus.

En conclusion : bienvenue dans le tourisme sous conditions

L’Union européenne vient d’inventer le voyage à sens unique :
on peut partir, mais pas partout.
On peut rêver, mais pas de tout.
Et on peut critiquer, mais pas trop fort.

Sanctionner un dictateur, c’est une chose.
Punir ses citoyens au passage, c’en est une autre.
Et pendant qu’on nous interdit de voir Moscou, les Chinois, eux, signent des contrats d’énergie avec le Kremlin.
Cherchez l’erreur.

Alors, chers Européens, profitez bien de vos prochaines vacances… tant qu’elles sont encore autorisées.

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