Ah, Emmanuel. Toujours prompt à bondir sur l’actualité — surtout quand il s’agit de noyer le poisson.
Pendant que le procès Brigitte agite la toile, le président s’improvise sauveur de la démocratie menacée par… TikTok.
Un matin, il a présidé fièrement une réunion sur « la démocratie à l’épreuve des réseaux sociaux et des algorithmes »… ou encore « Il faut se méfier des réseaux sociaux »

Traduction : la liberté d’expression à l’épreuve de Macron.
Le coupable idéal : les réseaux qui osent encore parler
Quand tout part en vrille, il faut un bouc émissaire.
Et quoi de mieux que les réseaux pour expliquer :
- qu’il a bradé Alstom et l’industrie française,
- qu’il s’est fait dégager d’Afrique,
- que Trump le méprise,
- qu’il a “emmerdé” les non-vaccinés,
- qu’il a censuré RT-France et C8,
- qu’il a engraissé McKinsey,
- et qu’il préfère Pfizer à Peugeot ?
Mais chut… trop de vérités finissent par nuire à l’image présidentielle.
Alors hop, on ferme le robinet numérique : pour votre bien, évidemment.
La démocratie selon Macron : “Taisez-vous, je cause”
Sous prétexte de “lutter contre la désinformation”, l’objectif est clair :
verrouiller le débat public et imposer la parole d’État.
La “démocratie à l’épreuve des réseaux” deviendra la démocratie sous tutelle,
avec France 2, BFM-TV et les fact-checkers comme seule vérité autorisée.
“Vive le Ministère de la Vérité ! Vive moi !”
– Emmanuel Macron, probablement demain.
Le vrai danger pour la démocratie ?
Ce ne sont pas les tweets, mais les dirigeants qui veulent les effacer.
Et à force de vouloir museler le peuple, Macron risque de découvrir
qu’un pays sans voix finit toujours par hurler.
