Quand un môme cite Macron, Napoléon et Jules César comme « grands hommes de la Seconde Guerre mondiale », on ne sait plus s’il faut pleurer, gifler le système éducatif ou envoyer une friteuse en offrande à l’UNESCO.
« Le premier a cité Macron, le deuxième Napoléon, le troisième Jules César. »
– Alain Jakubowicz, témoin auditif d’un naufrage civilisationnel en direct sur les ondes.
Ah, la mémoire collective…
Cette grande absente des classes de CM2, enterrée quelque part entre la réforme Blanquer, les tablettes connectées, et un atelier « dessine-moi ton genre ».
8 mai : journée du souvenir… ou fête du vide intersidéral ?
Alain Jakubowicz, ancien président de la LICRA, était invité à méditer sur le sens du 8 mai. Et là, au détour d’une anecdote, BOOM : Stéphane Bern aurait demandé à des enfants de son village de citer de grands hommes de la Seconde Guerre mondiale.
Le résultat ?
- Macron
- Napoléon
- Jules César
À ce niveau-là, on ne parle plus d’oubli, mais de nécrose neuronale.
Et on ne parle plus d’école républicaine, mais de fabrique à zombies déconnectés.
« Je ne dis pas que c’est un signe des temps… mais il devrait y avoir une réappropriation de la nation. »
— Jakubowicz, qui sous-entend poliment que l’Éducation Nationale fait de la peinture sur cadavre.
La nouvelle Histoire de France façon UERSS
- De Gaulle ? Trop viril.
- Jean Moulin ? Trop complexe.
- Macron ? Parfait. Il fait des discours avec des effets de lumière. Et il adore se comparer à Jupiter.
Ajoutez une louche de propagande UE, un zeste de révisionnisme discret, une pincée de désintérêt scolaire… et vous obtenez un cocktail pédagogique dont même Jules César aurait dit : « veni, vidi, mais je me casse d’ici. »
Frankistan, pays des jours fériés sans mémoire
Parce que c’est ça aussi le fond du problème :
« Quel est le sens de ce jour férié pour nos concitoyens ? »
Une vraie question.
Aujourd’hui, le 8 mai, c’est pour beaucoup un simple jour sans travail, un pont vers le néant historique, une occasion de faire du barbecue ou de binge-watcher Netflix.
Le souvenir ?
Il est dans les discours d’élus sous parapluie, pas dans les esprits.
Et les gosses ? Ils récitent TikTok plus vite qu’un poème de Paul Éluard.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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