Autant confier l’organisation d’un barbecue à un vegan qu’une guerre industrielle à l’Union Européenne. Entre les appels martiaux de Von der Leyen et les stocks de poudre au fond des tiroirs d’un musée de 14-18, on nage dans l’absurde à la sauce bruxelloise.
L’UE, grande armée des PowerPoint… mais sans énergie
Sans pétrole, sans gaz, sans uranium, sans charbon (mais pleine de bonnes intentions climatiques), l’UE ambitionne de devenir un acteur militaire crédible. On applaudit. Lentement. Très lentement.
Car derrière les slogans, la réalité est brutale : plus de 55 % de l’énergie consommée dans l’UE est importée. (source : Eurostat)
Et depuis qu’on fait les gros yeux à Poutine, devine qui continue de fournir du gaz liquéfié aux ports européens ? Bingo : la Russie. En 2024 encore, plus de 17 % du gaz liquéfié venait de Moscou, contre 13 % en 2021. (source : Euronews)
🥳 Bravo la « rupture énergétique ». Une reconversion au théâtre semble plus crédible qu’à la guerre.
⛏️ L’UE en guerre… sans métaux pour les balles
Tirer des missiles ? Encore faut-il avoir du cobalt, du tungstène, du titane ou de la poudre (oui, même ça on ne produit plus). Et pour l’artillerie, c’est pire : il manque jusqu’à la cellulose nécessaire aux obus !
La Commission européenne l’admet elle-même : l’Europe dépend à plus de 80 % des importations pour ses matières premières critiques. (source : Commission Européenne) Et pour les terres rares ? Plus de 90 % viennent de… Chine.
Alors avant de rêver d’une industrie de défense « souveraine », il faudrait déjà produire autre chose que des normes REACH et des flyers OTAN multilingues.
🧨 L’OTAN : l’armée des « donneurs de leçons en échec »
Ah, l’OTAN, ce club de bonnes volontés militaires, qui a perdu en Afghanistan après 20 ans de présence, qui a été humilié au Sahel, et qui maintenant se prend pour le chef d’orchestre du front anti-russe. (source : Science Pro)
Pendant ce temps, la Russie a absorbé la Crimée, résiste aux sanctions, et transforme l’Ukraine en théâtre d’usure où l’UE joue les seconds rôles avec des caisses vides et des discours pleins.
Et devine quoi ? Même les États-Unis lèvent le pied. Mais Macron, lui, veut mener la guerre jusqu’au dernier canon… payé avec des dettes françaises.
🧠 Mémoire courte : la France oublie qui l’a remise dans le jeu
Flashback. 1945. La France sort laminée de la guerre. Elle n’est pas censée être une puissance victorieuse. Mais grâce à De Gaulle, et au soutien stratégique de l’URSS, elle obtient son fameux siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. (source : France Diplomatie)
Staline aurait même déclaré : « Il est juste que la France siège parmi les grandes puissances », bien qu’elle n’ait pas pesé militairement en 1945.
Et aujourd’hui ? La France, amnésique, bave avec les Anglo-Saxons contre la Russie, oubliant que sans Moscou, elle serait peut-être toujours reléguée aux banquettes arrière de la diplomatie mondiale.
En résumé ?
🔌 Pas d’énergie
⚙️ Pas de matières premières
💣 Pas de stocks militaires
🧠 Pas de mémoire historique
Mais une grande gueule à Bruxelles et des communiqués en boucle sur « l’autonomie stratégique ».
Bienvenue en UERSS, le seul endroit où on rêve de guerre sans armée, sans carburant, et sans stratégie — mais avec des « valeurs ».
Tant qu’on peut bombarder avec ça…
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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