Macron voulait entrer dans l’Histoire par la grande porte de Notre-Dame, mais c’est sur le parvis qu’il finira son discours. Entre mégalomanie et loi de 1905, plongez dans ce nouvel épisode de la saga présidentielle !
Ah, l’art du grandiose à la française !
Emmanuel Macron avait sans doute rêvé d’entrer dans l’histoire en prononçant un discours « mythique » à l’intérieur de Notre-Dame de Paris, fraîchement rénovée après son mystérieux incendie de 2019. Mais voilà, petit hic : la loi de 1905 interdit toute manifestation politique dans un lieu de culte. Oups.
Pas de panique, l’archevêché de Paris, visiblement plus souple qu’une baguette tout juste sortie du four, avait donné son feu vert, officiellement pour des « raisons de praticité ». Pratique, en effet, de piétiner une loi centenaire pour que Manu puisse se tenir dans la lumière divine des vitraux. Mais patatras, la polémique a explosé, forçant notre cher président à sortir… sur le parvis.
Un roi déchu de sa cathédrale, mais pas de son ego.
Manu a donc choisi de respecter la loi – un fait rare, notons-le – et de livrer son discours à l’extérieur, probablement avec un subtil mélange de contrition et de fausse humilité. Mais attention, cela ne l’empêchera pas d’assister à la messe catholique le lendemain. Parce que oui, notre président, c’est aussi un peu l’oint du Seigneur, n’est-ce pas ? Ou du moins, il aime bien le croire.
Une mégalomanie mal en point
Le pire dans cette histoire, c’est que même les anciens soutiens de Macron commencent à lâcher les chevaux. Des proches, comme l’ex-ministre Marlène Schiappa, chuchotent (ou crient) qu’il aurait, je cite, « un problème psychologique ». Alors Manu, c’est quoi la prochaine étape ? L’intronisation sur le trône de France, couronne en main et sceptre en poche ? Allez, à ce rythme-là, le retour de la monarchie n’est plus très loin.
Bref, cette réouverture de Notre-Dame de Paris est déjà un mélange de drame, de comédie et de mauvaise mise en scène politique. Rendez-vous le 7 décembre pour voir si Manu parviendra à transformer l’eau bénite en vin... ou simplement en une autre occasion de se faire huer. Spoiler : la deuxième option semble plus probable.
Citation de Madame-Raleuse.com
Macron sur le parvis, ou l’art de reculer quand l’Histoire refuse de vous accueillir.
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