Plongez dans les méandres du scandale de l’OxyContin, un antalgique opioïde au effet dévastateur avec Madame-Raleuse.com : découvrez comment la Cour suprême a dynamité un accord à 6 milliards de dollars avec le laboratoire Purdue Pharma et laissez-vous surprendre par les rebondissements de cette saga judiciaire captivante.
Le grand accord contrarié
Qui n’a pas entendu parler du scandale de l’OxyContin, cet antalgique qui a fait des ravages et qui fait encore des ravages, nombreux sont ceux qui sont tombé dans le piège de vouloir vivre sans douleur, devenir dépendant, a perdre maison, famille et déambulant dans les rues à la recherche de cette drogue inventée par un laboratoire en quête de milliards !
Et, quelle surprise, la Cour suprême américaine a décidé de jouer les trouble-fêtes dans le grand spectacle de la crise des opioïdes. Vous savez, ce feuilleton où les Sackler, cette charmante famille propriétaire de Purdue Pharma, avaient tenté un joli petit arrangement à 6 milliards de dollars pour éteindre les feux. Mais non, la Cour a trouvé que c’était un peu trop généreux de leur accorder une immunité contre toute poursuite future. Après tout, qui aurait cru que vendre des millions de doses d’OxyContin en minimisant légèrement leur côté addictif pouvait poser problème ?
Bien sûr, l’objectif était noble : mettre fin à toutes ces querelles juridiques et permettre à la famille Sackler de tourner la page sur cette petite histoire de 247 000 décès par overdose entre 1999 et 2019. Mais hélas, même avec un accord aussi mirobolant, il semble que certains ne voulaient pas jouer le jeu. Les villes et états voulaient bien sûr leurs petites compensations pour financer la lutte contre les addictions, mais apparemment, la justice doit aussi faire son show.
La morale doit prévaloir
Heureusement, la Cour suprême est là pour rappeler que même en faillite, Purdue Pharma ne peut pas simplement se barrer avec son argent en laissant les autres désemparés. Non, non, la morale doit prévaloir : tant que des gens meurent d’overdoses, il faut bien trouver quelqu’un à blâmer. Et puis bon, après tout, le fentanyl prend le relais maintenant, alors pourquoi se tracasser autant pour de vieux dossiers ?
En tout cas, tout ça pour dire que les Sackler ne pourront pas encore mettre leurs pieds en or massif dans la piscine remplie de billets de 100 dollars. La justice a parlé, et elle ne semble pas prête à accorder de pause publicitaire à cette saga de l’industrie pharmaceutique.
Citation de Madame-Raleuse.com
La Cour suprême cloue les Sackler au pilori : l’argent ne peut acheter l’absolution.
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