Procès Le Scouarnec : 349 victimes, 20 ans ferme, et la société qui continue de roupiller comme si de rien n’était

Quand la justice passe, les enfants crient… en silence.

20 ans. Le maximum. Une peine exemplaire, dit-on. Pour Joël Le Scouarnec, chirurgien et pédocriminel multi-récidiviste, auteur de sévices abominables sur des centaines d’enfants. Et pourtant, aucune rétention de sûreté. Il pourra ressortir en 2030. Tranquillement. Comme s’il avait volé des madeleines, et non des enfances.

Mais où sont passées l’indignation collective, les banderoles, les plateaux télé en boucle, les tribunes pleurnichardes sur “la société patriarcale” ? Ah oui… C’était un homme blanc, vieux, médecin, discret. Pas assez bankable pour une manif médiatisée.

Un procès hors norme… et hors radar

Le 29 mai 2025, France 5 diffuse « C ce soir » sur le sujet : Procès Le Scouarnec, un rendez-vous manqué ? Spoiler : oui. Carrément manqué. Raté. Loupé. Zappé. Enterré.


Au programme :

  • Louise Colcombet (Le Parisien), qui tente de réveiller l’opinion.
  • Gabriel Trouvé, victime et survivant malgré le système.
  • Marie Grimaud, avocate des parties civiles, seule à parler de rétention de sûreté quand tout le monde s’empresse d’oublier.
  • Hugo LEMONIER Journaliste, auteur de « Piégés, dans le « journal intime » du Dr Le Scouarnec » (éditions Nouveau Monde, février 2025)
  • Denis Salas, magistrat qui tente de faire croire qu’il reste une justice quelque part.
  • Et un plateau qui dérange… sauf les autorités.

France 5, seul média à oser en parler sans filtre. Résultat : aucune onde de choc. Rien. Le vide. Le néant médiatique. Mais un bon vieux débat stérile sur le burkini fait bien plus d’audience.

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349 victimes, 299 non prescrites… et une justice de technocrates

Ce procès n’a pas été un acte de reconnaissance. C’était une séance d’archivage. On a numéroté les corps, chronométré les larmes, calibré la compassion. Et surtout, évité soigneusement de remettre en cause l’hôpital, les institutions, les complices par omission.

🔎 Le type a opéré, soigné, inspecté, violé… pendant 30 ans. Tout le monde savait. Mais chut. C’était “un bon professionnel”.

L’UE-RSS ne s’en mêle pas, la France non plus : silence d’État

Dans une autre dimension, une affaire comme celle-ci aurait provoqué une révolution du droit pénal, la création de cellules spécialisées, une réforme totale de la protection de l’enfance. Chez nous ? Des hashtags fantômes et un reportage nocturne.

Le ministre de la Justice ? Absent.
Le président ? Muet.
La société ? Fatiguée.
La presse ? Consternante.

« Rendez-vous manqué » ? Non. Rendez-vous évité.

Le titre de l’émission dit vrai : la France n’a pas manqué ce rendez-vous, elle a fait exprès de ne pas venir. Trop occupée à défendre les droits de l’homme du bourreau, à préserver les carrières des lâches, et à protéger le prestige des blouses blanches.

« Alors non, Joël Le Scouarnec ne sortira pas demain. Juste en 2030. C’est fou comme 20 ans, ça passe vite quand on les compte avec une montre judiciaire.
Mais le système, lui, est toujours en liberté.


🧷 Voir l’émission sur France.TV (dispo jusqu’au 28 juin 2025)


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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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Un commentaire sur « Procès Le Scouarnec : 349 victimes, 20 ans ferme, et la société qui continue de roupiller comme si de rien n’était »

  1. Même remarque que pour les femmes violées, où sont donc les parents ? Qu’attendent-ils pour opérer à leur tour le chirurgien ?

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