Dans ce cirque législatif, la loi sur l’immigration devient la scène d’une pièce où les Sages du Conseil constitutionnel jouent les faiseurs de magie, faisant disparaître plus du tiers du texte en un claquement de doigts. Préparez-vous à une satire politique cinglante qui vous fera questionner la réalité de notre système. Bienvenue dans l’univers décapant de Madame-Raleuse.com, où la plume acérée rencontre la politique absurde !
La comédie législative
Ah, quelle délicieuse comédie que cette loi sur l’immigration ! Les Sages du Conseil constitutionnel ont joué les troubles-fêtes !
Imaginez-vous, 86 articles de loi passés à la trappe en un temps record. C’est presque aussi rapide que le temps qu’il faut pour éclater de rire devant l’absurdité de certaines mesures. La droite pensait avoir remporté la bataille de la fermeté après des négociations féroces, mais les Sages ont décidé de jouer les trouble-fête.
La loi, initialement composée de 27 articles, s’est ensuite gonflée comme un ballon de baudruche à 60 articles de plus. Une extension qui aurait fait pâlir d’envie même les experts en contorsion législative. Mais attention, un tel numéro n’était pas sans risque juridique, comme si les Républicains jouaient à la roulette russe constitutionnelle.
Le Conseil constitutionnel, tel un maestro de l’humour noir, a décidé de censurer joyeusement 32 dispositions, laissant le texte amputé de 40% de son volume initial. Une véritable séance de chirurgie esthétique législative, où les Sages ont décidé quels articles étaient dignes de rester sur la scène politique.
Les péripéties d’une crise politique
Le spectacle continue avec trois dispositions jugées contraires à la constitution. On aurait dit que le parlement jouait au Monopoly avec des règles maison, mais les Sages ont rappelé que fixer l’ordre du jour ne se faisait pas à la légère. Et que dire de l’idée de prendre des empreintes et des photos de personnes en séjour irrégulier ? Trop ringard, selon les droits de la défense.
Finalement, le texte revient à sa version initiale, mais avec une petite réduction de taille, comme un pantalon qui aurait rétréci au lavage. Et tout cela après une crise politique digne d’un feuilleton télévisé, avec des rebondissements à la pelle et des concessions gouvernementales à la pelle.
Ah, la politique, ce merveilleux monde où l’on peut jouer avec les mots, les lois et les constitutions comme des cartes de tarot. Bravo aux acteurs politiques qui ont offert ce spectacle digne d’une tragi-comédie constitutionnelle. On en redemande, vraiment.
Équité constitutionnelle : Entre les lignes du Conseil, l’égalité vacille
Quand Macron saisit le Conseil constitutionnel pour ses intérêts, la magie opère, et la raison lui est souvent accordée. Cependant, lorsque c’est pour défendre le peuple, l’égalité semble s’évaporer, laissant place à des décisions favorables au gouvernement. Une équité à géométrie variable qui soulève des questions sur la véritable garantie des droits du citoyen face aux volontés du pouvoir. L’égalité devant la loi ? Une notion qui semble prendre des chemins sinueux dans les arcanes du Conseil constitutionnel.
Citation de Madame-Raleuse.com
La politique, c’est comme un spectacle de cirque : des numéros de désillusion, des lois qui disparaissent en un claquement de doigts
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Ya pas à dire la connerie, en France, c’est une discipline olympique