Bienvenue à bord du Titanic de l’automobile européenne version 2025. Le paquebot Stellantis vient de publier son bilan pour le premier trimestre. Spoiler : ce n’est pas une Tesla qui s’envole, mais plutôt un diesel à plat dans une montée. Revenons ensemble sur cette œuvre d’art comptable, où les chiffres piquent autant que les prix à la pompe.
-14% de chiffre d’affaires : Stellantis s’électrifie… à coups de décharges
Avec une baisse de 14 % du chiffre d’affaires (35,8 milliards d’euros tout de même, faut pas non plus pleurer trop fort), Stellantis confirme sa capacité à vendre moins de voitures, et moins cher. C’est beau l’innovation. En un an, ils sont passés de 1,34 million à 1,22 million de véhicules vendus. Même les calendriers de la Poste se vendent mieux.
Mais la vraie perf’, c’est de brader ses modèles, parce que quand on foire la fiabilité et qu’on persiste à forcer l’électrique sur des marchés qui n’en veulent pas, il ne reste plus qu’à solder.
L’Amérique ? Stellantis y vend ce que personne ne veut
Aux États-Unis, là où Ford et GM se battent à coups de gros pick-up testostéronés, Stellantis a tenté le pari risqué : vendre des voitures… que les gens détestent. Le résultat ? Une part de marché qui s’écrase comme un kangoo au crash test. Même leur tentative de ramener le V8 sonne plus comme un chant du cygne que comme un plan de relance.
L’Europe, ce champ de ruines
En Europe, c’est la chute libre. -25 % de ventes, et une part de marché qui passe de 18,7 à 17,3 %. Il faut dire que Stellantis a tout donné : entre moteurs PureTech rappelés plus souvent qu’un stagiaire maladroit, boîtes de vitesses qui hésitent plus que Darmanin face à une caméra, et logiciels buggés dignes d’un site gouvernemental… l’expérience client est mémorable. Mais pas dans le bon sens.
Les Italiennes font la gueule
La gamme italienne ? Enterrée sous le dogme du tout-électrique. Résultat : plus un seul modèle thermique digne de ce nom chez Fiat, Alfa Romeo, Abarth ou Lancia. Même les fans transalpins, d’habitude si fidèles, fuient comme des touristes un resto sans TripAdvisor.
En France ? Le naufrage made in PureTech
Chez nous, c’est la fête aux casseroles. Moteurs faiblards, boîtes capricieuses, bugs en série : Peugeot et Citroën ont fait le pari de l’infériorité technologique. Et ça paye ! En baisse.
Afrique & Moyen-Orient : on ferme la douane
Moins 30 % de ventes dans ces régions. Officiellement à cause de restrictions à l’import. Officieusement ? Allez savoir… Même Stellantis semble dépassée.
Seul espoir : la samba brésilienne
Le seul endroit où Stellantis a une once de flair, c’est au Brésil. Là-bas, ils ont fait un truc de fou : adapter leur offre au marché local (oui, incroyable !). Résultat : +10 % de ventes et une part de marché qui monte. Moralité : quand on arrête de prendre les gens pour des idiots, ça peut marcher.
Leur plan ? Parler à votre voiture pendant qu’elle tombe en panne
Plutôt que de fiabiliser leurs moteurs, Stellantis préfère investir dans des gadgets inutiles : assistant IA développé avec Mistral, conduite autonome jusqu’à 60 km/h (parfait pour les embouteillages !), et autres gadgets pour gonfler les prix.
Mais rassurez-vous : les dividendes tombent quand même (0,68 € par action, contre 1,34 € l’an dernier – mais bon, faut bien sauver les meubles pour les actionnaires).
Plus de prévisions : « on sait pas, on verra »
Stellantis abandonne aussi les bilans prévisionnels. Officiellement, c’est à cause des incertitudes mondiales. En vrai, c’est surtout parce qu’ils n’ont aucune idée d’où ils vont. Mais rassurez-vous : ils vont « recalibrer » la production aux États-Unis. Traduction : préparer des plans sociaux en mode soft power.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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