Autrefois, construire chez soi, c’était un projet de vie.
Aujourd’hui ? C’est une déclaration de guerre fiscale.
Depuis 2012, l’État et vos chers élus locaux ont inventé la taxe d’aménagement : un impôt local au nom poétique mais à la morsure bien réelle. (source : TF1) Chaque mètre carré que vous osez créer est une provocation qui appelle une sanction… fiscale, bien sûr.
Une véranda ? Un abri de jardin ? Une piscine ? Taxé.
Vous rêviez d’ajouter un petit coin lecture vitré pour vos vieux jours ?
Taxé.
Un abri pour ranger les vélos des enfants ?
Taxé.
Une piscine pour survivre aux canicules (elles, exonérées de fiscalité) ?
Encore taxé.
Même votre cave ou vos combles, ces endroits autrefois oubliés des percepteurs, sont aujourd’hui transformés en nouveaux Eldorados fiscaux.
Et si vous aviez la mauvaise idée de penser à l’écologie — panneaux solaires ou éoliennes — devinez quoi ?
Taxé aussi. Bravo le progrès.
Comment ça marche, ce piège doré ?
Le montant dépend de votre commune et de votre département. Une géolocalisation fiscale : au Monopoly de l’aménagement, toutes les cases sont payantes.
Dès que vous obtenez un permis de construire ou d’aménager, la Direction générale des Finances publiques (DGFIP) entre en scène. Vous avez 90 jours pour déclarer votre crime (pardon : votre construction).
Et si vous oubliez ?
La DGFIP ne dort jamais. Taxe majorée et pénalité offerte.
Préserver la biodiversité… et vos nerfs
Les élus justifient ce prélèvement pour financer :
- Des écoles (où les enfants apprendront à devenir de futurs contribuables dociles).
- Des voiries (où vous éviterez les nids-de-poule… peut-être).
- Des projets écolos pour « préserver la biodiversité » (et planter trois géraniums en centre-ville).
Vous croyiez construire un abri de jardin ? Vous venez de financer un rond-point et une boîte à livres municipale. Félicitations.
« Construire, c’est créer.
Créer, c’est payer.
Bienvenue dans la France de 2025. »
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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