Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Taxe au kilomètre parcouru pour les voitures électriques : le Royaume-Uni ouvre le bal, la France sort déjà les calculettes !

Ah, les voitures électriques ! Ce rêve vert vendu à grand renfort de spots publicitaires où tout le monde respire du bonheur et recharge son SUV au coucher du soleil. On nous a promis un avenir propre, sans essence, sans CO₂, et surtout… sans taxes.
Spoiler : fallait pas y croire.

Le Royaume-Uni invente la “taxe écolo rentable”

Nos amis britanniques ont trouvé la parade : à partir de 2028, les conducteurs de voitures électriques devraient payer 3 pence par mile, soit environ 3,5 centimes par kilomètre. (source : Le Guardian)
Traduction : un conducteur moyen sortira près de 280 € par an juste pour rouler.
Pourquoi ? Parce que l’État britannique perd chaque année 25 milliards de livres de taxes sur les carburants. Et ça, ça donne des sueurs froides à Bercy aussi.

L’Europe observe, la France bave

Ne vous y trompez pas : le Royaume-Uni n’est pas seul. L’Islande et la Nouvelle-Zélande ont déjà sauté dans le train de la « justice kilométrique ».
Et devinez qui regarde le wagon en salivant ? Oui, la France, ce pays où le mot “recette fiscale” provoque chez les ministres la même excitation qu’un 13ᵉ mois chez un fonctionnaire de Bercy.
Car soyons clairs : si les Anglais le font, l’Europe va “harmoniser”. Et quand l’Europe “harmonise”, ça finit toujours avec une nouvelle ligne sur votre avis d’imposition.

L’argument officiel : “Les voitures électriques abîment les routes aussi”

Ah, la perle ! Le gouvernement britannique justifie la taxe en expliquant que “les voitures électriques usent les routes aussi, c’est une question d’équité.”
Formidable.
Donc, après avoir encouragé tout le monde à s’endetter pour une voiture électrique “pour sauver la planète”, on vous expliquera bientôt que votre Tesla abîme le bitume plus qu’un vélo, et qu’il faut bien “contribuer à l’effort national”.
Simple. Efficace. Hypocrite.

L’avenir de la fiscalité verte ? Le compteur connecté

Et attention : cette taxe ne se fera pas à la louche. Non non. Elle reposera sur des données réelles de trajet, collectées par votre véhicule ou votre GPS.
Big Brother version Borne : “Dites, monsieur, vous avez fait 12 km pour aller chercher du pain ? Hop, 42 centimes.”
On est à deux clics de la facture par respiration.

La France dans le rétroviseur

Vu l’état des finances publiques, il ne s’agit pas de savoir si la France va copier, mais quand.
Entre un déficit abyssal et un gouvernement qui taxe plus vite que son ombre, on imagine déjà le communiqué :

“La contribution kilométrique vise à assurer l’équité entre les usagers et à financer les infrastructures.”
Traduction : “On a besoin d’argent, et vos kilomètres sont notre nouvelle mine d’or.”

En résumé

Les Anglais testent.
Les Islandais appliquent.
Les Français attendent la notice pour copier-coller.
Et pendant ce temps, le citoyen, lui, se demande combien de temps il lui reste avant qu’on taxe le nombre de clignotants utilisés par an.


Vous croyez acheter la liberté de rouler propre, vous avez juste précommandé un abonnement au fisc.

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