Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

L’Union européenne autorise les enfants à changer de genre dès la maternelle : Bruxelles ouvre la garderie du progrès (et ferme la porte du bon sens)

Ah, Bruxelles. Toujours en quête d’un nouveau combat humanitaire à livrer contre… la réalité.
Cette fois, c’est décidé : l’Union européenne veut permettre aux enfants de “s’auto-identifier” — oui, même avant de savoir écrire leur prénom. (source : Atlantico)
Selon la stratégie LGBTIQ+ 2026-2030, les États membres sont invités à mettre en place des procédures “sans restriction d’âge” pour que chacun puisse choisir son genre “en toute autodétermination”.

En clair : demain, un gamin de 6 ans pourra annoncer qu’il n’est plus Paul mais Paulette, et quiconque osera lever un sourcil sera coupable de “discrimination structurelle”.
Bienvenue dans l’Europe inclusive, où les enfants jouent à “Qui veut devenir un autre ?”, et les adultes doivent faire semblant d’y croire.

Bruxelles découvre le genre fluide (et la logique liquide)

Les eurocrates parlent désormais de “bonnes pratiques” entre États membres.
Et là, on imagine la scène : des technocrates en costard autour d’une table, débattant gravement de la couleur des licornes.

“Faut-il un formulaire Cerfa pour changer de prénom à 7 ans ou à 5 ans ?”
“Et l’acte de naissance, on le met en arc-en-ciel ou en pastel ?”

Les partisans du projet vous diront qu’il ne s’agit “que” d’une transition sociale, sans danger.
Mais on sait comment ça se termine : aujourd’hui, c’est un prénom neutre et des pronoms exotiques ; demain, c’est un traitement hormonal “affirmatif” et une opération chirurgicale “libératrice”.
Tout ça avant même l’âge de raison.
Mais rassurez-vous : c’est “progressiste”.

La nouvelle pédagogie européenne : “Mon corps, mon doute”

Bruxelles veut aussi interdire toute thérapie de conversion, ce qui, sur le papier, semble louable.
Sauf qu’ici, “conversion” veut dire “parler à un enfant pour l’aider à comprendre qu’il n’est peut-être pas né dans le mauvais corps”.
Autrement dit, les thérapeutes, parents et enseignants n’auront plus le droit de questionner l’idéologie.
Ils devront affirmer sans discuter.

C’est la nouvelle liturgie du genre : si ton enfant veut être une licorne rose à 8 ans, ton rôle de parent, c’est d’applaudir et de demander si elle veut des sabots taille 32 ou 33.

Et pour les États récalcitrants ? Punition collective

Parce que Bruxelles ne fait jamais les choses à moitié :
les pays qui refuseront d’appliquer ces “valeurs” pourront être sanctionnés financièrement.
C’est ce qu’on appelle l’éducation par le portefeuille.

La Hongrie en sait quelque chose : 700 millions d’euros bloqués pour avoir osé dire que “les enfants ne sont pas des cobayes idéologiques”.
La Slovaquie, elle, vient d’inscrire noir sur blanc dans sa constitution qu’il n’existe que deux genres — un sacrilège qui fera bientôt l’objet d’une procédure d’inquisition judiciaire européenne.

Valeurs européennes” ou crise existentielle ?

Pendant que l’UE s’auto-congratule pour “protéger les minorités”, elle oublie une petite majorité :
les parents.
Ceux qui aimeraient juste qu’on laisse leurs enfants tranquilles, sans drapeau militant dans les cartables.

Mais visiblement, en 2025, défendre le droit d’un enfant à ne pas se poser des questions existentielles à 7 ans est une hérésie.
Et refuser qu’un formulaire administratif décide de son genre à 8, un crime contre “l’Europe des valeurs”.

Alors oui, Bruxelles est inclusive : elle inclut tout, sauf la raison.

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