Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Vaccins Covid : quand on change la définition pour élargir la porte… et passer en mode file VIP

Ah, la science… Toujours en mouvement, toujours en innovation… et parfois avec un petit lifting lexical qui tombe à pic. Les vaccins, on savait ce que c’était : un bout de microbe ou un microbe entier, mort ou affaibli, injecté pour entraîner le corps à se défendre. Mais avec le Covid, surprise : place aux vaccins à ARNm, qui ne contiennent pas la cible mais un mode d’emploi génétique pour que ton corps la fabrique. Résultat : il a fallu élargir un peu la définition officielle… histoire de ne pas laisser ces nouveautés dormir dans la salle d’attente réglementaire.

Avant : le vaccin à l’ancienne

Historiquement, l’OMS et la plupart des agences de santé parlaient d’un vaccin comme d’une préparation contenant directement l’agent pathogène (mort, affaibli) ou ses morceaux (protéines, polysaccharides). Bref, on te montrait la photo du criminel pour que ton système immunitaire l’apprenne par cœur. (source : frontiers)

Après : l’ère du vaccin “mode d’emploi”

Les vaccins ARNm (Pfizer, Moderna) ne montrent pas la photo : ils donnent les plans au corps pour qu’il fabrique lui-même la cible (ici la protéine Spike). Ça reste une immunisation active… mais ce n’était pas inclus dans certaines définitions officielles.

Petit détail croustillant : en 2021, les CDC américains ont discrètement modifié leur définition. On est passés de :

“Produit qui stimule le système immunitaire pour produire une immunité contre une maladie”
à :
“Produit qui stimule la réponse immunitaire de l’organisme contre des maladies” (source : Histoire du vaccin)

Une formulation plus large, capable d’englober l’ARNm et autres technologies modernes. Opportunité heureuse ou ajustement technique ? Disons… les deux.

Pourquoi le Covid est arrivé si vite

Pas parce qu’on a “inventé” le mot vaccin pour tricher, mais parce que, réglementairement, un vaccin peut profiter de la voie express :

  • Autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMMc) en Europe : feu vert sur données incomplètes mais promesse de les fournir ensuite.
  • Rolling review : l’Agence européenne du médicament (EMA) analyse les résultats au fur et à mesure.
  • Phases cliniques chevauchées : on lance la suite avant d’avoir fini le début, façon Netflix qui valide la saison 2 alors que la saison 1 est encore en tournage.

(sources : EMA – AMM conditionnelle, EMA – procédure Covid)

Résultat : AMMc en un temps record… et arrivée dans nos bras en moins d’un an.

Les médicaments classiques, eux, peuvent attendre

Pour eux, pas de coupe-file : phases complètes, dossier béton, validation finale avant de vendre. Le parcours “marathon sous la pluie” reste la norme.

Moralité

Si t’es un médicament, tu fais la queue comme tout le monde.
Si t’es un vaccin, surtout en pleine pandémie, on élargit la porte, on change un peu l’enseigne, et tu files direct en VIP. C’est légal, c’est encadré… mais avoue que ça a un parfum de “on arrange les règles pour que ça rentre”.

Un commentaire sur « Vaccins Covid : quand on change la définition pour élargir la porte… et passer en mode file VIP »

  1. Médicaments ou vaccins, le tout est toxique ! Mais cela permet au quidam de se laver les mains quant à sa responsabilité sanitaire. Ben oui, si les médecins existent, c’est qu’il faut leur fournir une matière première ! Cerise sur le gâteau, la chair humaine est taillable et corveable à volonté et en plus elle remercie et quel que soit le résultat !

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