Quand un match de foot entre l’Ajax et le Maccabi Tel-Aviv à Amsterdam vire à l’incident diplomatique, Benyamin Netanyahou dénonce un « pogrom » et affrète deux avions pour rapatrier les supporters israéliens. Violences, accusations d’antisémitisme, et réactions internationales… Madame-Raleuse.com vous plonge avec sarcasme dans ce chaos où sport et politique se heurtent de plein fouet.
Quand un match de foot devient un incident diplomatique
Ah, les grandes heures des relations internationales… Quand un match de foot devient une affaire d’État, avec toute la subtilité d’un bulldozer. Amsterdam s’embrase après une rencontre entre l’Ajax et le Maccabi Tel-Aviv, et voilà Netanyahou en mission de sauvetage. (source : Les Échos) Deux avions envoyés, oui, messieurs-dames, pour rapatrier les supporters israéliens ! Car rien de tel qu’une « Kristallnacht » version supporters en goguette pour rappeler des souvenirs sombres et, accessoirement, glisser un message politique. Le sport, ça rapproche les peuples, paraît-il. Enfin, sauf quand ça finit en pugilat intercontinental.
Pour le Premier ministre israélien, pas de demi-mesure : « une attaque antisémite préméditée ». Eh oui, oubliez les petites échauffourées de stade, là, on parle de pogrom, ni plus ni moins. Les médias israéliens n’ont pas tardé à s’emparer de l’affaire, poussant l’analogie jusqu’à la fameuse Kristallnacht. Ben voyons. À Amsterdam, un supporter se cache derrière une table, un autre se réfugie dans sa chambre d’hôtel… Et hop, une comparaison avec l’Holocauste est lancée. On sent le doigté politique, et surtout, une énorme dose d’empathie pour ces fans en difficulté.
Réaction européenne, entre diplomatie molle et cris d’indignation
Pendant ce temps-là, Dick Schoof, Premier ministre néerlandais, essaie tant bien que mal de garder la face, lâchant un « inacceptable » qui sonne plus comme une excuse en retard qu’une déclaration musclée. Ah, l’Europe, toujours aussi douée pour réagir sans froisser personne… C’est sûr, Amsterdam ne s’attendait pas à gérer un incident diplomatique entre bières, chants de supporters et quelques échauffourées. Et bien sûr, en Israël, le Conseil de la sécurité nationale conseille à ses citoyens de rester barricadés dans leurs hôtels. On recommande même de dissimuler tout signe d’appartenance israélienne. Bref, une mesure de survie… ou un grand coup de com ?
Isaac Herzog, lui, joue les alarmistes sur les réseaux sociaux, voyant dans cette soirée agitée un « signal d’alarme pour la liberté ». De quoi assurer une belle audience, alors que l’on s’affaire déjà en Israël à coordonner l’évacuation des supporters, avec El Al en renfort pour ce sauvetage aérien digne des grandes crises internationales. On ne sait plus s’il faut pleurer pour les supporters… ou sourire devant cette nouvelle farce politico-footballistique.
Citation de Madame-Raleuse.com
Une seconde Kristallnacht ou simple bagarre de supporters ?
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Pensez-vous que les réactions de Netanyahu et des autorités israéliennes sont justifiées ou exagérées ? Partagez votre opinion dans les commentaires !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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