Sur Madame-Raleuse.com, découvrez l’histoire d’une femme du Allier qui se bat non seulement contre le cancer, mais aussi contre une Sécu qui semble jouer à la roulette des remboursements. Quand la bureaucratie devient un obstacle à la guérison, le combat devient doublement difficile. Lisez la suite pour une plongée dans cette épopée judiciaire qui défie la logique et l’humanité. (source : 20Minutes)
Le drame médicamenteux
Alors que notre système de santé est au bord du gouffre, que les soins sont de moins en moins remboursés, récemment, une brave dame de l’Allier, a décidé de se battre sur un nouveau front : celui de la prise en charge des médicaments.
Voici le scénario digne d’un feuilleton dramatique : notre héroïne, malade du cancer depuis presque dix ans (oui, dix ans, rien que ça !), entame un nouveau traitement en mars 2023. Au lieu du médicament de marque, dont elle aurait eu besoin pour ne pas vomir ses tripes après chaque prise, elle se retrouve avec un générique. Bien entendu, son corps, lui, n’a pas reçu le mémo et se met à faire la fine bouche. C’est donc la galère.
Le combat de David contre Goliath
Imaginez la scène : la Sécu, avec son flair inégalé pour rendre la vie des gens encore plus compliquée, se dit que rembourser le générique est amplement suffisant. Le hic ? Cela laisse notre héroïne avec un reste à charge de 2.200 euros par an. Oui, vous avez bien lu, deux mille deux cents euros ! Et pendant deux mois, ils ont eu la bonne idée de fournir une aide financière, avant de faire machine arrière comme un enfant capricieux qui change d’avis sur son jouet préféré.
Alors, qu’est-ce qu’on fait dans cette situation ? On se rend à la CPAM pour leur faire comprendre que le cancer, c’est déjà assez compliqué, sans en plus devoir jouer les agents secrets pour obtenir des fonds. La réponse : un procès. Parce que rien de tel qu’une bonne vieille bataille juridique pour prouver que parfois, la Sécu peut donner l’impression d’être une sorte de jeu de société où les règles changent en permanence.
En attendant, notre patiente continue son combat. Espérons que la justice ne la fasse pas attendre aussi longtemps que la Sécu pour reconnaître que, parfois, il faudrait peut-être ne pas mettre la santé à l’épreuve des maths et du budget !
À retenir : même si la santé semble être un privilège réservé aux riches, il est important de ne pas se laisser faire. Après tout, si les procédures et les remboursements sont un jeu de société où les règles changent sans cesse, il vaut mieux rester dans la partie plutôt que de laisser la Sécu remporter la victoire par forfait !
Citation de Madame-Raleuse.com
La Sécu préfère financer des paperasses plutôt que des médicaments vitaux.
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Pensez-vous que la Sécu devrait prendre en charge le coût total du médicament quand le générique est intolérable ? Partagez votre avis en commentaire !
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