Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Dette publique : quand Borne et Le Maire jouent au ping-pong pendant que la France coule

Ah, la dette française.
Ce gouffre financier qui grandit plus vite qu’un cactus sous lampes UV.
Et au milieu du désert budgétaire : Élisabeth Borne et Bruno Le Maire, qui se renvoient la patate brûlante comme deux enfants surpris devant un vase cassé.

“Si les recettes avaient été au rendez-vous, on aurait tenu les 5 %.” — Élisabeth Borne, LCI

Traduction :
“C’est pas moi, c’est les impôts qui n’ont pas voulu rentrer.”

Dans son intervention, Borne récapitule avec application, comme une élève en maths qui relit sa copie en espérant que le prof ne calcule pas vraiment :

– Revalorisation des fonctionnaires : +3,5 % en 2022
– Revalorisation : +1,5 % en 2023
– Total : +5 % sur deux ans
– Inflation : +10 %

Donc en gros :
“On a augmenté moins que l’inflation, alors venez pas dire au français que c’est à cause d’eux que ça part en vrille.”

Sauf que derrière, elle glisse un petit bijou politique :

“On est tous stupéfaits de l’état des finances publiques.”

Ah oui, stupéfaits.
Comme si personne n’avait vu les milliards sortir en mode sprinklers XXL depuis 2020.
Comme si le ministère de l’Économie avait travaillé au pifomètre, sur une calculette solaire un jour de pluie.

Le trou dans les recettes : 42 milliards

Le chiffre tombe, net, sans anesthésie :
👉 42 milliards de recettes qui manquent en 2023 et 2024.

Et là, Borne l’assène : si Bercy avait prévu juste, tout serait allé comme sur des roulettes comptables.

Sauf que Bruno Le Maire, dans son registre “moi j’avais prévenu”, nous joue maintenant la carte du ministre lucide, presque visionnaire — ce qui fait doucement rire quand on repense aux années de “tout va bien, c’est maîtrisé”.

Le duel des comptes : Borne vs. Le Maire

D’un côté :
Borne, qui explique que tout était sous contrôle “si seulement” les recettes n’avaient pas décidé d’aller faire une sieste de deux ans.

De l’autre :
Le Maire, qui sort des lettres datées 2024 pour dire qu’il avait tout anticipé…
(oui, en 2024, il découvre que les finances vont mal — quelle intuition fulgurante).

Pendant ce temps, la dette continue son marathon, les taux montent, la France se rapproche tranquillement du guichet du FMI, et les ministres rejouent la scène culte :
“C’est pas moi, c’est lui.”

Conclusion : le déficit à 5 %, une blague interne ?

Borne l’affirme :
👉 “Si les recettes prévues avaient été là, on aurait tenu les 5 %.”

Oui.
Et si les licornes existaient, on aurait réglé la dette avec de la poussière magique.

Ce qui est fascinant, ce n’est pas la mauvaise gestion — les français sont habitués.
C’est leur capacité à s’en étonner.
Comme si c’était le fisc qui avait claqué la porte et posé un arrêt-maladie.

En attendant, la France paie les intérêts,
les ministres paient des coups médiatiques,
et nous…
Les français paient tout le reste.

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