Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Chikungunya en Chine : 7 000 cas, des moustiques “éléphants” et un air de déjà-vu façon Covid

En Chine, les moustiques ont trouvé leur festival d’été : 7 000 cas de chikungunya rien que dans le Guangdong depuis juillet. (source : BBC) Et comme en 2020, le scénario est déjà écrit : hôpitaux, isolement, mesures spectaculaires… mais pour un virus qui ne se transmet même pas entre humains.

Moustique, mon amour : mode d’emploi d’une panique

À Foshan, la ville la plus touchée, les malades dorment sous moustiquaire à l’hôpital et n’en sortent qu’après un test négatif ou une semaine derrière les barreaux… pardon, les draps.
La maladie ? Pas contagieuse, mais transmise par une piqûre de moustique infecté. Un moustique qui, lui, s’en fiche complètement des restrictions de déplacement.

Résultat : Hong Kong panique pour un gamin de 12 ans revenu de Foshan avec un peu de fièvre et un rash. Les réseaux sociaux chinois frissonnent à l’idée de douleurs articulaires persistantes. Et pendant ce temps-là, l’OMS rappelle l’évidence : éliminer les eaux stagnantes.

Quand la lutte anti-moustique devient une opération militaire

Dans le Guangdong, on ne plaisante pas :

  • Amende jusqu’à 10 000 yuans si vous laissez de l’eau traîner dans un pot de fleurs.
  • Moustiques “éléphants” lâchés dans la nature pour dévorer les moustiques porteurs.
  • Poissons mangeurs de larves déversés dans les lacs.
  • Drones pour traquer les coupables… pardon, les flaques.

Bref, on déploie plus de moyens pour chasser un moustique que pour attraper un ministre corrompu.

Et le petit parfum de confinement…

Certaines villes avaient même imposé 14 jours de quarantaine aux voyageurs venant de Foshan. Un petit clin d’œil nostalgique au “grand confinement” façon Covid, avant de se raviser. Parce que, rappelons-le, aucun malade n’ira mordre ses voisins.

Mais la mémoire collective étant ce qu’elle est, beaucoup voient dans cette gestion une répétition générale… au cas où un prochain virus, lui, décide de se propager d’humain à humain.

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