Madame-Raleuse.com vous révèle les dessous d’une nouvelle crise sanitaire qui secoue la France : la fièvre catarrhale ovine débarque avec un sérotype inédit. Accrochez-vous, car les moutons vont vivre des jours difficiles ! Découvrez tous les détails de cette urgence virale. (source : Euractiv)
La fièvre catarrhale ovine, nouveau visiteur indésirable
La fièvre catarrhale ovine de sérotype 3, après avoir tenté de se faire discrète dans les Pays-Bas, l’Allemagne et la Belgique, cette maladie a décidé de se lancer dans un road trip jusqu’à Marpent, dans le Nord de la France. Et visiblement, les moutons locaux ne sont pas préparés à cette nouvelle recrue.
C’est officiel depuis le 5 août, l’agence sanitaire Anses a confirmé que ce sérotype est en train de faire ses premiers pas en France. La préfecture du Nord est en pleine panique, et les éleveurs sont en mode « super alarmes ». La bonne nouvelle, c’est que ce virus n’est pas contagieux pour les humains. La mauvaise, c’est que ça fait des ravages chez les moutons.
Pour couronner le tout, le Luxembourg a récemment rejoint la fête avec un petit foyer à 15 km de la frontière française. Alors, pourquoi ne pas organiser un grand rassemblement viral de moutons sur tout le continent européen ?
Notre vieille ennemie, la fièvre catarrhale ovine (ou « la langue bleue » pour les plus cyniques), n’a jamais confronté les cheptels français au sérotype 3, les laissant ainsi dépourvus de toute résistance face à cette menace.
La réaction des autorités et la réponse des éleveurs
Simon Ammeux, le président de la FRSEA Hauts-de-France, nous promet déjà des jours sombres. « Ça ne s’arrêtera pas à un seul cas, on est parti pour une mauvaise période », dit-il, comme si nous n’avions pas assez de raisons de nous inquiéter.
Bruno Leclercq, animateur de l’association ovine des Hauts-de-France et de Normandie, rappelle avec une nostalgie mélancolique une épidémie passée du sérotype 8. Ah, les bons vieux souvenirs où des élevages entiers étaient décimés !
Le sérotype 3 est décrit comme une menace sérieuse pour le cheptel. Stéphan Zientara, directeur du laboratoire de santé animale de l’Anses, observe que « Très clairement, il y a des ovins qui meurent ».
Face à cette situation, le ministère de l’Agriculture a décidé de créer une zone « régulée », car pourquoi pas ajouter un peu de bureaucratie à ce joyeux désastre ? Les éleveurs auront la possibilité de faire vacciner leurs bêtes, gratuitement bien sûr, avec le vaccin disponible à partir du 14 août. Ils pourront même s’amuser à administrer le vaccin eux-mêmes, parce qu’une touche de DIY dans cette situation ne fait jamais de mal. La deuxième livraison de vaccin est prévue pour le 31 août, juste à temps pour le grand retour du sérotype 3.
En résumé, préparez vos moutons et vos esprits : la fièvre catarrhale ovine est maintenant en France, et elle est là pour rester ! Espérons qu’elle ne touchera pas les nombreux moutons qui croient tout ce que le gouvernement essaie de leur faire croire !
Citation de Madame-Raleuse.com
La fièvre catarrhale ovine frappe la France : un nouveau sérotype, une nouvelle menace, des moutons dévastés.
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