mouche bleue grippe aviaire

Surprise ! Les mouches bleues, ces petites créatures détestées, viennent de se voir attribuer un nouveau rôle : vecteurs du virus de la grippe aviaire. Préparez-vous à découvrir comment ces insectes inattendus pourraient bouleverser la lutte contre la grippe aviaire. Madame-Raleuse.com vous plonge dans cette révélation qui va sûrement vous surprendre ! (source : SciencePost)

Les mouches bleues, un nouveau vecteur inattendu

Oh, quelle surprise ! Les mouches bleues, ces petites créatures fascinantes que l’on adore voir dans nos plats, ont décidé de se diversifier. Désormais, elles ne se contentent plus de gâcher les pique-niques ; elles se transforment en véritables vecteurs de la grippe aviaire. Un petit cadeau de l’Université de Kyushu, au Japon, pour égayer notre quotidien.

Dans un coup de théâtre qui ferait rougir de jalousie Hollywood, des chercheurs nippons ont trouvé ces charmantes mouches, aussi connues sous le nom glorieux de mouches à viande, portant le virus de la grippe aviaire. Leur scène de crime ? La ville d’Izumi, un hotspot hivernal pour les grues sauvages. Voilà donc un nouveau twist dans le drame de la transmission de la grippe aviaire, avec un casting que personne n’avait vu venir.

La grippe aviaire, pour ceux qui n’étaient pas au courant, est une maladie de choix pour les oiseaux : des virus de la famille des Orthomyxoviridae – certes, un nom très savant, que je vais oublier dans 10 secondes – qui adorent faire le tour du globe aviaire, laissant derrière eux un carnage. Les plus célèbres, H5N1 et H7N9, ne se contentent pas de se réjouir des plumes ; ils ont aussi un faible pour les mammifères, y compris, accessoirement, les humains.

Traditionnellement, on pensait que les oiseaux infectés se passaient le virus comme une patate chaude. Les sécrétions respiratoires et les excréments étaient les principaux acteurs du drame. Et si vous pensiez que l’eau et les surfaces ne pouvaient pas devenir des acteurs secondaires, vous vous trompiez : les oiseaux aquatiques jouent les réservoirs naturels, plongeant dans les eaux contaminées avec une élégance toute aviaire.

Les réactions et mesures de contrôle face à la nouvelle menace

Mais attendez, les humains ne sont pas en reste ! Ils peuvent aussi transporter le virus à droite et à gauche, surtout dans les environnements agricoles où les règles de biosécurité sont aussi strictes qu’un festival de musique sans sécurité.

Une étude, publiée dans Scientific Reports, révèle que ces mouches, collectées autour de la ville d’Izumi, ont décidé de se joindre à la fête avec une prévalence impressionnante de 2,2 % parmi les 648 mouches capturées. Des chiffres dignes d’un blockbuster, non ?

Les mouches de l’espèce Calliphora nigribarbis ont manifestement un penchant pour les cadavres d’oiseaux infectés et leurs excréments. Elles gardent le virus pendant environ deux jours et, avec leur capacité de vol de 2 kilomètres par jour, elles pourraient bien être les nouvelles héroïnes du virus, répandant joyeusement la grippe aviaire dans un rayon de quatre kilomètres. Le voyage en première classe est réservé pour elles !

Face à ce nouveau défi, les chercheurs s’allient avec le gouvernement japonais pour poser des pièges autour des fermes avicoles. L’objectif ? Vérifier si les mouches à viande sont les coupables parfaits de cette épidémie. Si tel est le cas, il va falloir renforcer les mesures de contrôle avec des filets anti-insectes, des insecticides et un entretien rigoureux, parce que, bien sûr, c’est facile à mettre en place dans des élevages en plein air ou en pleine nature.

Et pour couronner le tout, l’intelligence artificielle entre en scène, promettant de surveiller et de prédire les risques avec une précision presque effrayante. Voilà donc un nouveau chapitre dans la saga de la grippe aviaire, avec un casting de choix : mouches bleues, nous vous applaudissons !

Citation de Madame-Raleuse.com

Les mouches bleues, les nouvelles porteuses du virus de la grippe aviaire, ont décidément une manière inédite de s’inviter dans notre quotidien.

Exprimez-vous !

Pensez-vous que les mouches bleues pourraient vraiment devenir un problème majeur pour la grippe aviaire ? Partagez vos avis dans les commentaires ci-dessous !

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

Vous pouvez aussi me retrouver sur Reporter Citoyen. Venez découvrir de nombreux autres articles rédigés par des citoyens reporters engagés dans la quête de la vérité. Venez nous rejoindre !

Alors si vous voulez rester informé(e) malgré cette répression féroce, abonnez-vous vite à la newsletter de Madame-Raleuse.com, C’est GRATUIT !

Et pour les plus intrépides qui aiment se livrer à une chasse au trésor sur les réseaux, vous pouvez toujours me chercher sur Vk, Facebook, Wattasapp et même Telegram (mais avec une chance incertaine, vu la censure qui plane comme une épée de Damoclès). 😂

Partager l’article sur :

One Comment

  1. La grippe aviaire n’est pas transmissible à l’homme . A moins de jouer aux apprentis sorciers dans des laboratoires P4 .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *