Pfizergate : le procès tant attendu d’Ursula von der Leyen et de Pfizer est reporté, mais la pression ne faiblit pas. Madame-Raleuse.com revient sur cette saga explosive avec son regard mordant. (source : RTBF)
Pfizergate » : la saga continue, mais à petit pas !
Vendredi dernier, la chambre du conseil de Liège devait examiner la plainte explosive déposée contre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla. Mais, dans une pirouette judiciaire digne des plus grands sketchs, l’audience a été reportée sine die. Traduction : « On remet ça à plus tard, on ne sait pas quand. »
Cette plainte, portée par le Belge Frédéric Baldan, accuse la présidente de la Commission européenne de « destruction de documents publics » (comprendre : des SMS évaporés comme par magie), de « prise illégale d’intérêts », et même de « corruption ». Rien que ça. Et comme un bon scandale ne se vit jamais seul, Pfizer et BioNTech sont également sur le banc des accusés.
Des SMS disparus et une transparence en panne
L’affaire repose sur ces fameux échanges entre Ursula et Albert lors de la négociation des contrats de vaccins. Disparus, effacés, ou simplement « oubliés », ces messages soulèvent une question : que cachent-ils ? Une négociation honnête et transparente ? Ou des arrangements qui feraient rougir un banquier suisse ?
Un report… mais pas un abandon
Le juge d’instruction n’a même pas daigné se présenter vendredi, visiblement convaincu que l’affaire était bloquée. Selon Frédéric Baldan, le parquet européen n’aurait « volontairement pas fait son travail », histoire de ralentir l’avancée du dossier. Pourtant, ce report offre un maigre lot de consolation : les victimes ont pu accéder à de nouveaux éléments dans le dossier. Une petite victoire dans une bataille qui s’annonce longue.
Rendez-vous est pris pour le 6 janvier 2025, où la chambre des mises en accusation devra décider si l’affaire mérite d’avancer ou de retourner dans les limbes administratives. En attendant, les plaignants – désormais rejoints par des ONG, des associations, et même deux États membres (Pologne et Hongrie) – ne comptent pas lâcher l’affaire.
Le show judiciaire continue
Ce report ne freine pas l’élan des victimes et de leurs avocats, qui voient dans ce procès une quête pour la transparence. Mais soyons réalistes : dans ce bras de fer entre citoyens et institutions, il faudra bien plus qu’un report pour étouffer un scandale qui résonne déjà dans toute l’Europe.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand la justice reporte, les scandales patientent.
Exprimez-vous !
Pensez-vous que ce report est une manœuvre ou une simple lenteur judiciaire ? Donnez votre avis en commentaire !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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De toute façon ils n’auront rien ,la justice est corrompue