Quand on négocie des milliards d’euros de vaccins par SMS et qu’ils disparaissent mystérieusement, ça sent le scandale XXL. Et quand on y ajoute une audience à huis clos et une conférence ultra-sélecte, le doute n’est plus permis : bienvenue dans PfizerGate. Prêts à découvrir les dessous de ce feuilleton judiciaire inédit ?
PfizerGate : quand Ursula joue à cache-cache avec la justice
Ah, Ursula von der Leyen, cette icône de la transparence européenne. Après avoir prétendument négocié des milliards d’euros de vaccins à coups de SMS secrets avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, voilà qu’elle se retrouve dans une affaire judiciaire digne d’un épisode de House of Cards. Et cette fois, ce n’est pas juste une crise de WhatsApp supprimé.
Une audience à huis clos, bien sûr
Le grand jour est arrivé ! Alors que l’Europe se demande où sont passés les fameux SMS, la justice belge s’active… enfin, si on peut appeler ça de l’activité. L’audience, fixé ce 6 décembre, pour décider de la compétence du Parquet européen ou de la Belgique dans cette affaire. Et, surprise, elle se tiendra à huis clos. C’est vrai, pourquoi impliquer le public dans une affaire qui touche directement ses impôts, sa santé et sa confiance dans les institutions européennes ? (source : Nexus.fr)
La conférence de presse qui promet
Pas de panique, le 7 décembre, Frédéric Baldan et Maître Diane Protat animeront une conférence de presse à l’Hôtel Sélys van der Valk de Liège. Un lieu chic pour une affaire si « banale ». Mais attention, seuls les journalistes inscrits pourront y assister. Vous pensiez qu’Ursula était la seule à aimer les petits comités ?
Des citoyens en colère (ou résignés ?)
La vraie question est : où sont les journalistes quand il s’agit de défendre l’intérêt général ? Ursula, Pfizer, BioNTech… tout ce beau monde pourrait bien être renvoyé en correctionnelle si les preuves de corruption et de destruction de documents sont avérées. Mais chut, ça ne doit pas trop s’ébruiter avant les prochaines élections européennes. Un hasard, vous dites ? (source : Marianne.net)
Et après ?
À ce rythme, Ursula pourrait bien nous apprendre que la transparence n’était qu’un concept décoratif pour les vitrines bruxelloises. Mais, comme dirait le dicton, « tant que le public ne sait pas, tout va bien ». Alors, chers journalistes, allez-vous garantir ce droit à l’information ? Ou vous contenterez-vous de relayer les communiqués de presse déjà tout préparés ?
Vous voulez la suite de cet épisode captivant ? Rendez-vous le 7 décembre. Inscrivez-vous, sinon, vous serez comme ces citoyens lambdas : dans le noir total.
Citation de Madame-Raleuse.com
Transparence européenne : des milliards en jeu, mais pas un SMS à montrer.
Exprimez-vous !
Pourquoi la transparence s’arrête-t-elle toujours aux portes de Bruxelles ? Donnez votre avis dans les commentaires : justice ou simple mascarade ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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